Avec l’amélioration récente de la technologie robotique,
les gens retournent à l’ancienne idèe de Paul Lafargue. C’est à dire que dans
le futur proche, l’automation remplacera des travailleurs humains afin qu’ils
puissent finalement réaliser <> Dans ce
contexte, il me semblerait intéressant de réfléchir à deux problématiques, à
savoir est-ce que cela est vraiment désirable et quel peut être l’avenir plus
durable.
Pour commencer, notre société est fortement dominée par
la logique du capitalisme, sous laquelle quasi toutes les choses sont
converties en argent. L’exemple le plus marquant est un salaire avec lequel notre
travail, voire notre temps sont fréquemment représentés. Lorsqu’on travaille,
les specificités de chacun et de notre travail sont ignorées. A contrario, on
est plutôt homogénéisé et jugé par combien on peut gagner. Si bien que la
plupart des gens sont poussés à travailler de plus en plus de sorte qu’ils
pussient obtenir plus d’argent.Etant donné cette
actualité, l’automation du travail peut fonctionner comme un moyen de libérer
les personnes du travail, a fortiori de soularger leur culpabilité pour ne pas être
productives. Dans l’univers, il existe tant de choses avec lesquelles elles
peuvent s’amuser et valoriser que le travail, comme les loisirs, les families,
et même la paresse, elle-même ! Avec plus de temps disponible chez nous, on
expérimentera le monde d’une manière plus diverse et profonde.
Néanmoins, avant tout, une redéfintion de l’économie est
la condition sine qua non afin de profiter de l’introduction de la nouvelle
machine. Précisément parlant, il vaut mieux que la redistribution de ressources
ait lieu. Aujourd’hui, notre société est caraterisée par une immense inégalité notamment
au niveau financier. C’est dommage. Par exemple, quoiqu’il y ait certains qui dépensent
plus de 1000 euros pour un repas, pour d’autres habitant de l’autre côté du
quatier, cette somme d’argent équivaut aucoût de la vie pendant un an. De plus, on constate
que les personnes moins favorisées vont perdre leur boulot le plus au cours de
la quatrième revolution. Cet écart est, en partie, inévitable attendu qu’elle
vienne de la nature fondamentale du marché puisque sous le capitalisme, la
maximalisation de la rentabilité est la plus importante. Pourtant si la
tendance s’aggravera dans le futur, la société ne pourra plus la soutenir. Déjà
comme on peut voir dans les cas des elections presidentielles à la fois en
France et aux Etats-Unis, on est proche d’atteindre le point critique.
Autrement dit, si on ne perfectionne pas cette situation, on se confrontera plus
à l’extrémisme et à la haine dans lesquels on sera detruit.
En résumé, j’accepte ce changement plutôt positivement,
surtout comme un moyen de libérer les gens du travail et d’ouvrir des différentes
possbilités de la vie. En revanche, pour conduire la transformation à ladirection durable, l’égalité parmi les gens
devrait être considérée. A savoir, le bienfait de la modernisation ne doit pas se
concentrer seulement sur certains, mais partagé. Il faut qu’on sorte le mécanisme
du capitalisme, mais qu’on entre le mécanisme dans l’humanisme.