@foufouille Les médecins sont responsables de la situation. Ils ne soignent pas les malades, ne font pas de prévention réelle (alimentation dénuée de cholestérol et faible en graisse), leur disent de porter un masque (donc de respirer leur propre charge virale à longueur de temps) et de rentrer chez eux... jusqu’à ce qu’ils se retrouvent finalement en réanimation.
« Il ne faut surtout pas perdre de vue, que la majorité des benzodiazépines peuvent êtres prescrit, pour tout autre chose que l’insuffisance respiratoire. »
Non, les benzodiazépines sont justement contrindiqués pour l’insuffisance respiratoire, ce sont des sédatifs qui peuvent causer une détresse respiratoire. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils sont utilisés pour « la sédation profonde jusqu’à la mort » telle que définie par la Haute Autorité de Santé.
Ces médicaments sont donc contrindiqués pour la COVID-19. Lorsque les médecins les prescrivent, avec l’aval de l’Etat, pour la COVID-19, il s’agit donc manifestement d’un abus médical, qui est la directe conséquence du fait que le corps médical ne soigne pas réellement les malades de la COVID-19 et n’utilisent pas les bons moyens pour prévenir la maladie ou diminuer sa gravité.
Donner aux patients un médicament contrindiqué pour la maladie dont ils souffrent, c’est favoriser le développement de la maladie jusqu’à son aboutissement final : la mort, quand bien même vous atténuez les souffrances en les rendant inconscients.
Je ne fais que constater un fait : les benzodiazépines sont incompatibles avec l’insuffisance respiratoire, ce qui est écrit noir sur blanc sur les notices des médicaments de cette classe.
Quand les docteurs prescrivent des benzodiazépines (avec l’aval de l’Etat) dans le cadre de la COVID-19, ils utilisent un médicament contre-indiqué pour la maladie dont souffrent leurs patients, ce qui a comme conséquence de les faire mourir. Les benzodiazépines sont en effet des sédatifs, qui amenuisent la réponse respiratoire déjà défectueuse des personnes âgées malades.
La vaccination ne fait rien pour les personnes malades, et est, au contraire, contre-indiquée pour les personnes infectées, tandis que la vraie prévention (alimentation faible en cholestérol, non port du masque après infection) n’est quant à elle pas faite et non divulguée à la population.
La politique vaccinale est une politique égocentrique, qui ne s’intéresse pas aux malades et ne sert qu’à promouvoir le statu quo et à ne pas modifier les causes de la pandémie et des autres pandémies futures.
D’ailleurs les vaccins ne servent à rien pour les personnes malades de la COVID-19 et pourtant, les autorités ne parlent que des vaccins comme solution à la pandémie...
Qui ose dire que l’on soigne les malades ? On ne les soigne pas, on gère juste leur symptômes jusqu’à leur mort ou leur survie, s’ils sont assez solides et chanceux pour survivre aux mauvaises préconisations des médecins et de l’Etat en termes de santé publique.
Les docteurs ne prescrivent pas aux malades une alimentation qui est susceptible de diminuer la charge virale (alimentation faible en graisses et en cholestérol)
Les docteurs recommandent aux malades infectés de porter un masque et donc de respirer leur propre charge virale...
Les docteurs prescrivent des médicaments incompatibles avec l’insuffisance respiratoire (benzodiazépines) pour les personnes âgées en fin de vie atteints de la COVID-19
Qui après ça peut oser dire que la médecine cherche à réellement soigner les malades de la COVID-19 et à diminuer la gravité de l’épidémie ? Ils ne pourraient faire mieux si ils souhaitaient le contraire.
La politique médicale actuelle est juste une politique d’abandon des malades et de protection des personnes non infectées.