Non mais je rêve
Villach, non content d’écrire des élucubrations sur des sujets qui atteignent le comble du dérisoire, voilà que maintenant vous donnez de l’écho aux ragots de latrines du pouvoir ?
Mais est-ce que le mot dignité signifie quelque chose pour vous ?
Et puis, il y a ça, surtout : ’sa situation de célibataire enceinte, qui est, encore une fois, son droit le plus strict, pose problème’. Il va falloir vous appeler Paul Tartuffe, décidément !
Vous n’êtes décidément qu’un petit bourgeois mesquin et aigri, dont la pensée est aussi étroite que la déontologie des torche-balles où vous croyez vous informer.
Et ça se prétend "journaliste-citoyen" !
Vous me dégoûtez, Villach
Ca c’est bien vrai !
Un tel plan met en danger les fondements mêmes des Etats-Unis. N’a-t-on pas vu des millions d’électeurs furieux à l’idée d’un Etat qui oserait leur prendre de l’argent à eux, pour renflouer les banques ?
Et les élus de s’apercevoir, bien embêtés, qu’il y a bientôt des élections bientôt, et qu’à suivre trop aveuglément les consignes de leurs partis ils pourraient bien devoir renoncer à leur douillet statut de représentant.
A la surprise générale, Washington redécouvre la démocratie et doit se livrer en catastrophe à des aménagements du plan Paulson, retardant d’autant le salutaire sursaut qui va, n’en doutons pas un instant, rétablir Wall Street. Parce que pendant que le Congrès doit composer avec la mauvaise humeur de l’électorat, la bourse continue de plonger, plonger, plonger, plonger...
@l’auteur
Pas faux, ce que vous dites.
Mais affirmer que "les Etats-Unis ne peuvent désormais plus ignorer les terribles évènements" c’est un point de vue très européen. Bien sûr que si, ils peuvent. Et ils ne s’en privent pas.
Cameleon a raison : que ça nous plaise ou non, dans ce pays, on est très attaché à ce droit de détenir des armes.
Et aussi, dans un autre genre : il est de bon ton en France de tomber à bras raccourcis sur Sarah Palin. N’empêche que bon nombre d’américains se reconnaissent plus ou moins dans ce personnage, n’en déplaise aux belles âmes effarouchées d’Agoravox.
L’amérique, c’est un autre monde. Mettez-vous bien ça en tête
"Le port d’armes à feu en question" c’est à côté de la plaque
Mais voyons, c’est vous qui comprenez rien. Puisque Monsieur Paul vous le dit : vous êtes là en train de surfer tranquillement, nageant dans le bonheur de cliquouiller ici et là... et voilà que de vilains publicistes viennent vous gâcher le plaisir à coups de messages évoquant des trucs vilains : décès, invalidité, etc.
Et tout ça, horreur ! pour vous VENDRE des assurances après vous avoir appâté avec de zolies zimages avec plein de métonymie et d’intericonicité dedans.
Eh ben, c’est pas bien, voyez-vous. Croyez-en Monsieur Paul, le chevalier blanc. Il sait, lui.
C’est vous qui n’avez rien compris et qui vous laissez séduire, malheureux que vous êtes !
Remerciez-le au lieu de le contredire, ingrat !
M. Villach, vous allez finir par croire que je vous en veux personnellement...
Mais franchement, c’est à croire que vous le faites exprès !
Vous êtes-vous décidément fait une spécialité de couper les cheveux en quatre sur les sujets les plus ténus possibles ?
Aller chercher vos références dans les affiches de pub ou dans Match, c’est se focaliser sur le degré minimal de la communication de masse. Vous n’aimez ni Sarkozy ni Match, mais vous ne pouvez pas vous empêcher d’en parler... Mais faites quelque chose ! je sais pas, moi, essayez le Courrier International !
Bon, un retoucheur a effacé le pied d’un gusse qui apparaît derrière le président, et alors ?
Quand vous photographiez Madame sur la plage en été, ça ne vous embête pas de voir que le gamin qui passait derrière elle semble lui marcher sur l’oreille ? Alors si vous effacez ce gamin, Madame Villach ne s’estime pas défigurée pour autant, j’imagine !
Quand même, je veux vous remercier : vous nous avez épargné la métonymie et l’intericoncité cette fois. Mais je crains que ça ne revienne très vite, hélas.