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boronali

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Maître de son Haut Chateau...

Tableau de bord

  • Premier article le 24/03/2006
  • Modérateur depuis le 15/11/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique











Derniers commentaires



  • boronali boronali 23 décembre 2006 07:16

    Par essence, l’opinion publique est étrangère aux évènements qu’elle commente, ce qui n’est pas le cas tant de la famille Seznec que de celle de Pierre Quéméneur, puisqu’elles sont toutes deux actrices de cette affaire ...



  • boronali boronali 19 décembre 2006 15:28

    @ michel : Dreyfus a été réhabilité en 1906 et est décédé en 1935 ...



  • boronali boronali 19 décembre 2006 15:21

    « Je dis que les évidences ont besoin d’être démontrées (...) », en l’occurence, c’est exactement ce qu’a dit la Cour de Cassation dans son arrêt de rejet ! Les thèses de la défense en faveur d’une révision du procés sur la base d’éléments nouveaux remettant en cause la culpabilité de Seznec ne dépassent pas le stade de suppositions notamment concernant la thèse de la machination policière (C. l’inspecteur Bonny)

    Avec cette véhémence, ne faudrait-il pas plutôt accuser les avocats de Denis Seznec de n’avoir pas réussi à réunir des preuves pour étayer leur argumentation ? smiley



  • boronali boronali 19 décembre 2006 13:18

    L’arrêt de la Cour de Cassation sur la révision de l’affaire Seznec est un rendez-vous réussi avec le Droit, malheureusement pas avec l’opinion publique.

    L’auteur de cet article regrette que la Cour de Cassation s’en soit tenu au droit. Force est de constater qu’en l’espèce, la Cour a parfaitement rempli son rôle puisqu’elle est tenue de juger EN DROIT et non EN FAIT comme les juridictions qui lui sont inférieures.

    A la lecture de l’arrêt de rejet de la demande de révision, il est clair que la Cour de Cassation a reçu tous les arguments tentant de démontrer l’existence d’éléments nouveaux pouvant engendrer un doute quant à la culpabilité de Guillaume Seznec et donc motiver la tenue d’un nouveau procès d’Assises pour juger de la validité factuelle de la participation ou non de Seznec à la disparition de Pierre Quéméneur.

    Avec justesse et argumentation, la Cour de Cassation a démontré que l’ensemble des allégations de la défense n’était pas constitutif d’éléments nouveaux. Simplement parce que la quasi totalité de ces éléments sont fondés sur des convictions, des suppositions, des constructions intellectuelles qu’aucun élément matériel ou déclaratoire ne viennent valider (Cf. la machination policière contre Seznec) !

    La Cour de Cassation a parfaitement rempli son rôle dépassant même sa mission et par là reconnaissant le caractère extraordinaire de la demande en permettant au petit-fils de Seznec et à ses avocats de siéger lors de la réunion de la Chambre Criminelle statuant sur cette affaire en dérogation de l’article 623 du Code de Procédure Pénale. Le petit-fils de Seznec a même eu le privilège accordée par la Chambre Criminelle de s’exprimer en dernier pour clore les débats.

    La présence d’une des victimes de l’Affaire d’Outreau dans la salle était plus que symptomatique. En effet, ces gens ont été condamnés à tort par une Justice qui s’est laissée orienté par l’opinion publique et le battage médiatique autour de ce sordide canular. A l’inverse, la Cour de Cassation dans l’affaire Seznec ne s’est pas laissé dicter son jugement par une opinion publique massivement convaincue par l’innocence de Seznec, sans qu’aucun élément probant ne vienne étayer cette croyance autre que des téléfilms et des articles à sensation.

    La Cour de Cassation a donc tranché : au regard du droit, de la procédure et de la Justice, Guillaume Seznec est coupable de meurtre et de faux en écriture.

    Qu’il soit en fait innocent, ni sa famille, ni ses soutiens, ni ses défenseurs n’ont pu en appporter la preuve matérielle et déjouer ainsi l’accusation, qui elle, détenait de nombreux éléments probants à charge ...



  • boronali boronali 21 novembre 2006 17:48

    Manque un personnage à cette opérette, l’impitoyable porte-flingue chiraquien Alain Juppé, qui, hasard du calendrier, est rentré cet été de sa villégiature québecquoise pour reprendre une stature locale voire nationale et donc autant de crédibilité ...

    M’est avis que le silencieux est déjà bien vissé à son arme de poing et que l’UMP va se transformer en stand de tir d’ici la nomination de son candidat à l’élection ...

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