Ils sont psychologiquement instables (12%* ont déjà voulu étranglé leur conjoint, 0.5%* ont déjà tué quelqu’un, 0.7%* a déjà commis un viol, ils sont fans de Johnny à 8%* : il y a donc plus d’un trentenaire sur cinq qui souffre de psychose).
Cette instabilité mentale est due, selon les spécialistes au fait que 51%* des trentenaires sont des femmes.
Encore les suintements d’un pays sclérosé. Il me semble que tout le monde est d’accord sur le fait que notre pays à besoin de réforme, arrêtez moi si je me trompe. Après, le Président de ce pays a été élu au suffrage universel me semble-t-il.
Maintenant, que j’approuve ou pas certaines réformes, j’ai pour habitude de laisser faire avant de juger. Si dans 4 ans, le pays va mieux qu’il y a un an, je dirais Bravo, si c’est le contraire, je crierais "Aux lions Sarko".
Difficile de ne pas tomber dans le jugement de valeur de l’auteur...
D’ailleur jonedegre s’y est essayé avec pertinence.
On peut vénérer des grands esprits sans cracher sur les stars. Peut-être cette article est celui d’un scientifique aigri qu’on ne reconnaissance pas ses découvertes...
Un tel pamphlet sur les vedettes, sujet des plus légés, doit caché un problème profond chez son auteur.
Vous parlez du cinéma d’aujourd’hui, que vous admettez ne pas connaitre, comme d’une simple machine à fric (ah berk, de l’argent). Je vais prendre volontaire des exemples atypiques : un vrai cinéphile saura apprécier un film comme Batman Begins, film étonnant pour son coté "intimmiste à gros budget" au même titre que Eternal Sunshine, film "fantastique d’auteur".
Le cinéma d’auteur s’est bien, d’ailleur la France en produit beaucoup (trop), mais il y a mieux. Ecrire un film et le réaliser son deux métiers très distincts. Etre un génie dans les deux disciplines est rarissime (Bergman). Le cinéma Francais utlra subventionné produit des monstres d’ennuis qui sont réalisés en oubliant qu’un film doit être vu. Ces films permettent à quelques favoriser de tourner des longs métrages avec l’argent de l’état sans aucune contrepartie (nombre d’entrées, obtention de récompense, diffusion à l’étranger).
Ajoutez donc un peu de naïveté dans votre vie, cela vous permettra de découvrir que dans l’antre du méchant monstre Hollywoodien, on trouve quelques perles de créativité, et qu’au dela de la vanité mondaine du festival et de ses vedettes, on trouve un moyen de faire la fête et d’oublier, pour un instant, les sujets graves.
Quelles que furent leurs intentions, il me semble que le groupe Justice a bien fait son travail.
Ce que l’on attend d’un artisite, c’est qu’il nous fasse réfléchir. Et pour le coup c’est réussi : thème de "l’information sans l’explication", "la violence dans les médias", "la stigmatisation de la jeunesse de banlieu" et autre débats issus de l’imagination fertile des personnes ayant vue ce clip.
Comme tout oeuvre de qualité, chacun se l’ait approprié, chacun y a vu ses problèmes, ses interrogations. Le "Stress" de Justice, tient plus du tableau, qui, étant muet, laisse le spectateur libre d’imprimer sa vision.
Quant à savoir qu’elle était la motivation du groupe pour ce clip, peu importe. Autant discuter de l’existence de Dieu ou du Boson de Higgs.
Autre point qui a attiré mon attention dans votre article, la critique sans appel (ni argument), du petit Gavras. Il réussi, lui aussi, à faire son job : faire passer un sentiment, le stress. Personnellement, j’étais mal à l’aise tout au long du clip, la mise en scène, le coté "happy slapping", les logos vifs sur les blousons, la démarche agressive et mécanique des "prédateurs" : tout y est.
Pour conclure, il me semble que là où vous voyez des intentions mauvaises, je ne vois que votre propre interprétation d’une oeuvre artisitque complète.