Quand on se définit colombianophile et on voudrait parler de la salsa, la corrida et etc. ça veut dire que le seul regard que l’on porte à ce pays est celui d’un blanc fachiste colonialiste qui ne pense qu’à venir dépenser sa fortune dans un endroit où l’on croit pouvoir tout acheter.
Dire que Uribe, l’un des plus grands mafieux corrompus d’Amérique latine a fait avancer ce pays est une vision de cowboy (à la Bush) qui sort son flingue des qu’on n’a plus d’arguments.
Enfin, il faut quand même penser que, même si Chavez, dans son gouvernement avec des tendances dictatoriales, a su renverser la tendance d’une pauvreté au grand dam des plus grandes fortunes du pays.