brakoi

La liberté d’expression et la télé ça a toujours fait deux et sous l’ère (le pauvre hère ?) Sarkozy ça fait trois.

Je crois que dans votre réponse c’est vous qui êtes proche de la pathologie. Vous confondez le débat d’idée avec la vitupération, la mise en cause de la santé mantale de votre contradicteur. Vous auriez été très à l’aise en URSS ou l’on internait les dissidents.
Ce vilain penchant est déjà perceptible dans l’article ou vous suggerer de condamner certains au silence. D’ailleurs vous utilisez sans arrêt des termes tel que « gangrener », « empoisonner », vous dites que cela vous rend malade. Je crois que c’est votre propre malaise que vous projeter sur certains personnages publiques.

Comment ne pas être d’accord sur bien des points : ce sont presque des évidences.
Seulement vous manquer de cohérence : Finkielkraut lui, contrairement aux autres, n’a pas d’agenda caché. Il dit ouvertement, et très bien, ce qu’il pense, (c’est son métier de penser) et là vous rétorquer qu’il va trop loin, qu’il est obsessionnel tout simplement parce que vous n’êtes pas d’accord.
Il ne fait pas d’enfumage, il s’appuie sur des faits, des études et enquêtes.
De plus vous reconnaissez que Boniface ne le met pas en cause comme vous le faite alors qu’il serait lui plutôt pro-islam.
J’ai l’impression que vos sentiment parle plus fort que votre raison.

La bêtise c’est de croire qu’il y a une interprétation unique ou préférentielle d’une grande oeuvre littéraire, ce qui ressort de votre prose.
Ce qui fait les grandes oeuvres ce sont les sens multiples auxquels elles se prêtent à travers les ages.
Je vous trouve bien acrimonieux et scholastique vous-mêmes avec votre ton de donneur de leçons.La fréquentation professionnelle de la littérature ne vous a pas dotée de sagesse ni de style d’ailleurs.

Didier Porte est à peu prés aussi digne du qualificatf d’humoriste que Philippe Val dans les années 70, c’est dire si l’on s’esclaffe.
La vidéo est bien représentative de son non-style : filer une métaphore, ici la maladie (theme lègerement « nauséabond »), et l’étirer ad nauseam.
J’aime bien le kapo de la pensée qui leve le masque quand il déclare : « il aura beau nous dire pour se justifier ». On croirait entendre le DRH de France-télécom : « nous savons, ne perdez pas votre temps, nous savons ».
Je remarque que sur le plateau personne n’est aller jusqu’a rire d’une de ses saillies, quelque sourire de commande et encore.