@ Gavroche : une dette voulue et orchestrée par l’état ?
Mais comment est-ce possible dans un état démocratique avec des élections ?
Comment voulez-vous qu’un gouvernement puisse agir inversement à ses ambitions ? (et effectivement on peut se poser la question puisque les mesures sont inefficaces...)
Mais voilà, cette dette et la récession impliquent une hausse des impôts et taxes par exemple, une mesure particulièrement impopulaire... sans parler des faillites d’entreprises, ce qui entraîne d’autres dépenses publiques... et puis l’Etat a recours a l’emprunt pour payer sa dette (service de la dette), c’est un cercle vicieux ! comment expliquez-vous que l’Etat se mette lui-même la corde au cou volontairement ?
Je précise que je ne vote pas UMP mais j’apprécie que les faits soient relatés avec le maximum de réalisme et d’honnêteté... alors, au minimum, expliquez-vous et prouvez vos dires !
Je passe juste pour dire que cet article et les commentaires, tous les commentaires, m’ont touché par l’émotion et les sentiments qu’ils dévoilent, qu’ils soient sympathie, regrets... ou même les reproches car ils montrent tout mais pas l’indifférence.
Que l’on soit Français ou Algérien, on ne peut rester insensible à cette petite revendication de l’auteur qui voudrait amener chez lui un peu de cette mémoire française colonialiste, pour nous rappeler (n’est-ce pas Monsieur ?) cette période révolue mais encore douloureuse pour tout le monde, et ce qu’il en reste aujourd’hui, une identité algérienne qui se sent un peu abandonnée, malmenée à ce jour par un pays que nous nommerions, (sans même nous intéresser plus avant aux aléas de l’actualité orientale), son frère.
Alors même que le peuple algérien, encore « très français » par sa culture et par sa langue, a de plus en plus le sentiment d’avoir été oublié.
Pour en revenir à Camus, et Michel Onfray, la lettre du philosophe au président est ici :
Mes enfants sont vaccinés (vaccins classiques, ROR...) et une amie chef de clinique m’a judicieusement fait remarquer que le niveau de vie, la santé publique actuelle était le résultat, il faut bien l’admettre, entre autres, de la vaccination à large échelle...
Cependant, j’ai visionné hier un reportage hier « Silence On Vaccine », et un autre sur le vaccin anti-grippe A en particulier dont le sujet est : les doutes sur son innocuité et les suspicions de conflits d’intérêts entre les décideurs gouvernementaux, les industries pharmaceutiques et les membres de l’OMS...
Finalement... aujourd’hui je ne sais plus quoi penser et vraisemblablement, il y a fort à douter.
Mais nul doute que ce vaccin, et ses distributeurs, risquent fort d’entacher, plus largement, la réputation et la nécessité de tous les autres vaccins
... Le vaccin anti-grippe A ou Comment le problème des intérêts financiers pharmaceutiques remettent en question la nécessité d’une prévention médicale systématisée ?