vraiment très intéressant. OUI MAIS. une fois qu’on a expliqué pourquoi et comment la finance mondiale est une escroquerie qui profite aux banques, ça soulève quand même des questions :
questions 1 : c’est QUI... « les banques » ? j’entends la réponse « les actionnaires ». ok, mais en dernier ressort, il y a bien des personnes réelles derrière tout ça.... ils ont bien des noms et des prénoms ! alors qui a organisé ça ? qui contrôle ? et comment (puisque les hommes politiques qu’on a mis en place sont censés décider) ?
donc questions 2 : tous ceux pour qui on vote (toujours soucieux du bien-être général), sont-ils au courant ? si oui, peuvent-ils faire quelque chose ? et si « re-oui », pourquoi ne font ils rien ? (puisque ça semble être le cas depuis l’après-guerre).
le peuple n’attend pas des « images de sérieux », mais du sérieux, lui-même ; cela se traduirait par un gouvernement et des élus responsables et honnêtes ; et même avant d’être compétents. vous affirmez que « le citoyen ne comprend pas les gros chiffres », c’est vous qui le dites. et comment pouvez-vous « ne pas lier la politique à la morale » ?! un comble. liez là, au moins, à une notion de Justice ; à supposant que la Justice, au sens de système judiciaire, soit « moral ». coté efficacité de la politique, il faut se reporter aux résultats du chômage, de la dette publique, des chiffres sur la sécurité, au niveau des impôts en France, ou à son classement dans les pays corrompus, entre autres... si le privé se doit d’être efficace ou disparaitre, ce n’est visiblement pas le cas du politique qui lui, ne disparait pas des urnes, et se refuse à l’unanimité à dégager 110 millions pour la Nation en grande difficulté. quant à la gabegie des politiciens locaux et autres de leurs conseillers plus ou moins officiels, nous sommes bien d’accord sur ce point. comment cela est-il sanctionné ? nada. faute à qui ? je dirais pour ma part : l’irresponsabilité des citoyens dans leur ensemble et à la rétention d’informations (appelons cela comme ça), auquel l’article essaie de remédier. merci donc à l’auteur.
en lisant l’article je me demande si Anne St Clair pratique aussi ce genre de truc, car d’après quelques documentaires sur le sujet c’est souvent le couple ensemble qui pratique ce genre de choses.
Le fait que l’avocat de Banon ait invoqué "l’instrumentalisation
de la justice américaine" n’a pas de sens, comme vous l’avez démontré dans
l’article.
La déclaration de l’avocat est donc 1) un mensonge 2) de surcroit tout à fait immoral, puisque la motivation affichée de ne pas porter plainte vise à ne pas desservir DSK (dans son procès aux USA)... et donc de protéger un présumé criminel ; alors pourquoi ne pas dire plus clairement le fonds de la chose : Banon ne dispose d’aucune preuve contre DSK. c’est tout. parole contre parole, l’affaire devrait être classée au principe de la présomption d’innocence…
générant en effet, un risque de retournement, avec à la clé, une condamnation de la
plaignante... risquer ou prendre 5 ans de prison parceque celui qui vous y envoie n’a pas réussi à vous violée... c’est « embêtant ».
(dernière remarque, si la présomption d’innocence était retenue
en tous cas par la justice, l’affaire d’Outreau n’aurait surement jamais existé… le chainon manquant est bien là).