@ lloreen : arrête ton cirque, des vidéos sur la théorie du no-plane sont partout sur le net et décrédibilise tout le travail sérieux fait sur ce sujet. Exerce ton sens critique et arrête de flowder ces conneries :
Ca tombe bien, ReOpen911 n’a jamais soutenu une telle thèse et n’importe qui ayant déjà navigué sur le site peut en attester, donc vous faites sciemment de la désinfo.
Ton commentaire était en réponse à un commentaire de François et c’est celui-là qui a été effacé. Tu tires des conclusions très rapides, rien de neuf sous le soleil, n’est-ce pas... ?
Merci Taïké pour cet article. Partagé entre 2 camps qui considèrent qu’un fait, un témoignage, ou même un citoyen lambda doit faire partie d’un camp et se cantonner à une seule grille de lecture, cet article est un pari audacieux. Il faut remercier Fabrizio Calvi pour son enquête tout en acceptant les limites de celle-ci comme il le fait comprendre lui-même.
Il est tout de même incroyable de dénoncer une version officielle qui avait posé les grandes lignes de son rapport avant que l’enquête soit lancée (Philip Shenon), mais que d’un autre côté on essait de rester coller à une thèse a priori indéfendable en l’absence d’un grand nombre de faits la corroborant. La Commission d’enquête et les différents rapports jusque-là établis sont certainement juste le minimum d’information disponible et nous avons encore sûrement beaucoup à apprendre : comment alors partir d’une thèse a priori et revendiquer une quelconque vérité ? Comment considérer que ce que nous avons est la plus petite image de cet événement tout en estimant connaître la grande image dont nous sommes loin de pouvoir déterminer les contours ?
Le travail de Calvi a l’air de bonne foi, tout comme le votre, et c’est là le plus important ! Le travail de bonne foi et qui cherche à éclairer cette histoire doit s’opposer à la propagande de mauvaise foi qui cherche à la garder dans l’obscurité.
« Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés ; remettez, et il vous sera remis. »
Il est important, je pense, d’accepter les recherches d’autrui, même si elles ne rentrent pas forcément dans certains pré-requis d’une thèse préétablie ou d’une autre, car c’est de là que nous apprenons, en remettant en cause également nos propres convictions (à condition d’en avoir une - moi pas) et en gardant un esprit critique sans cesse réévalué ; votre travail est salutaire dans ce sens.
Plus particulièrement sur le sujet précis de Alhazmi et Almihdhar, je conseille fortement les articles de Kevin Fenton (il a travaillé sur la 911timeline de Paul Thompson, et est l’auteur du livre « Disconneting the dots : how 9/11 was allowed to happen ») qu’on peut retrouver sur le blog de Sibel Edmonds ; ils sont très instructifs. A savoir également que le documentaire de Ray Nowosielski et John Duffy a été retardé (il devait sortir le 11/9/11) à cause des menaces de poursuites de la CIA, pour l’instant on n’en sait pas plus. Durant leur enquête, ils ont également rencontré Richard Clarke et leur travail se concentre plus particulièrement sur le personnage de Richard Blee, avec autour des noms comme Tom Wilshire ou Coffer Blake qui méritent qu’on s’y intéresse. C’est une piste de recherche et le travail de Fabriozi Calvi sert à lui donner un écho en France qui n’est certainement pas regretable. Pourquoi le serait-il ?
À ce moment j’ai appelé Manhattan. On m’a répondu. Je leur ai demandé s’ils étaient au courant d’une explosion au World Trade Center. Je leur ai dit essentiellement ce que je pensais qui était arrivé ... [pp. 8-9]
...
… je crois que lorsque j’ai regardé dans la direction du Trade Center avant qu’il ne s’effondre, avant que la No 2 s’effondre, que j’ai vu des flashes de faible intensité.
Dans ma conversation avec le Lieutenant Evangelista, sans lui avoir jamais mentionné cela, il m’a interrogé et m’a demandé si j’avais vu des flashes de faible intensité sur le devant du bâtiment, et j’étais d’accord avec lui parce que j’ai pensé - à ce moment-là, je ne savais pas ce que c’était. Je veux dire, ça aurait pu être dû à l’effondrement du bâtiment, des choses qui explosent, mais j’ai vu un flash flash flash et ensuite on dirait que le bâtiment s’est effondré.
Q. Était-ce au niveau inférieur du bâtiment ou plus haut à la hauteur de l’incendie ?
R. Non, au niveau inférieur du bâtiment. Vous savez, comme quand ils démolissent un bâtiment, comment ils font sauter un bâtiment, quand il s’effondre ? C’est ce que je pense avoir vu. Et ce n’est pas moi qui ait abordé le sujet avec lui, mais c’est lui qui m’a posé la question. Il a dit que je ne sais pas si je suis cinglé mais je voulais te poser la question parce que tu étais à côté de moi. Il a dit « as tu vu quoi que ce soit près du bâtiment ? Et j’ai dit « qu’est-ce que tu entends par quoi que ce soit » ? Il a dit « as-tu vu des flashes ? » J’ai dit « oui, eh bien, j’ai pensé que c’était juste moi. » Il a dit « non, je les ai vus, aussi. »
Je ne sais pas si cela signifie quoi que ce soit. Je veux dire, je mets ça sur le compte de l’effondrement du bâtiment et des choses qui étaient poussées vers le bas, cela aurait pu être des explosions électriques, cela aurait pu être n’importe quoi. Mais il est juste étrange que deux personnes disent la même chose alors que nous n’en avions pas parlé. Je veux dire, je ne connais pas du tout ce type. J’étais juste debout à côté de lui...
Q. Sur les images de la télévision, il apparait également qu’il y a eu une explosion dans les étages supérieurs avant le premier effondrement.
R. Je suis au courant de l’explosion dans les étages supérieurs. Ça, c’était vraiment à hauteur des yeux. Je n’avais pas besoin de lever la tête. Parce que je regardais dans cette direction. Je ne vais pas dire que c’était au premier ou au deuxième étage, mais quelque part dans cette zone, j’ai vu ce qui ressemblait à des flashes. [pp. 14-16]