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Caldas

Un professeur aimant les élèves, et déçu que le système ne leur ait pas donné envie d’apprendre, de se faire plaisir et de se dépasser.
Un passionné de lecture, de moto, d’actualité, de politique et d’histoire. Un amoureux de la vie, peu enclin à croire aux rêves collectifs utopistes.
Un homme qui croit au bonheur partagé dans une cellule restreinte, mais hélas pas à l’harmonie universelle. Un homme heureux, apaisé.

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  • Caldas 4 février 2007 11:50

    Non, le gag est téléphonique, la vidéo imaginaire. On a par contre vu Ségolène annoncer au meeting où elle arrivait (paraît-il avace un peu de retard) qu’elle « était en ligne avec le Premier Ministre du Québec ».

    Elle avait même l’air d’en être assez contente. (Vous voyez bien que je suis quelqu’un, on m’appelle de loin pour me parler).

    Je ne juge pas de l’opportunité de ce coup de fil, qui bien sûr est un piège (c’est la définition même du canular téléphonique) et qui donc n’est pas un modèle de fair-play.

    Je ne nie pas non plus qu’on puisse douter de l’objectivité politique de Dahan, surtout si l’on cherche (sans le trouver) quelque chose d’aussi déstablilisant (et donc méchant) d’orienté par lui vers l’adversaire Sarko.

    Trois choses restent cependant, quelle que soit la forme d’humour que l’on puisse avoir :

    1°) Ségolène Royal a pris le risque de mécontenter tous ceux qui estiment que la Corse est un territoire français qui a vocation à le rester : donc maladresse !

    2°) C’était culotté d’oser contrefaire (et ce en prenant vraiment un accent québequois lambda) un Ministre étranger dans la période tendue d’une précampagne présidentielle aux accents aussi vifs : donc courage de Dahan...

    3°) Il ne faut pas oublier tout de même que Dahan a bel et bien demandé et obtenu l’autorisation de Mme Royal de diffuser ce canular, et je trouve plutôt à son honneur d’avoir accepté de risquer le discrédit afférent : donc bravitude incontestable, là, de Mme Royal...

    Non ?



  • Caldas 4 février 2007 06:12

    Question légitime, commentaires variés et intéressants, mais réponse assez simple : c’est trop tard !

    Le PS s’est trop gargarisé de son mode de désignation démocratique et transparent pour venir maintenant nous dire : « euh... finalement, on s’est trompés »

    Le vin de Corse et du Québec est tiré, il faut le boire. Rester assis devant la « Femme debout », et attendre...

    Ségolène la Souriante avez un temps voulue

    Ségolène la Gagneuse avez alors choisie

    Ségolène la Gaffeuse désormais subissez

    Ségolène l’Attentiste alors vous déplorez

    Ségolène la Bricoleuse bientôt découvrirez

    Ségolène la Factice trop tard maudirez

    Et espérons-le au moins pour elle, un jour...

    Ségolène la Crédule vous absoudrez, puis

    Ségolène l’Inconsistante vous oublierez.



  • Caldas 4 février 2007 05:16

    C’est drôle, mais c’est aussi profond et vrai.

    Que l’on s’inquiète de l’authentique soif de pouvoir et du côté carnassier du sourire de Sarko, c’est concevable. Et pourquoi pas légitime, après tout ? Cet homme s’est-il déjà caché de ses ambitions ? A-t-il masqué son Désir d’Avenir ? Sûr que non.

    Mais qu’on s’inquiète (derrière cet humour il y a je pense une réelle inquiétude) d’un simple sourire, eh bien j’y vois là une grande acuité d’esprit.

    Car la question que pose cette élection (maintenant que l’Histoire a choisi ses candidats, que nous les avons, qu’on ne peut plus en changer, et qu’il va nous falloir désigner l’un d’eux ou laisser à d’autres le soin de le faire) c’est celle-ci : la France va-t-elle voter à plus de 50% pour un sourire, pour CE sourire-là, précisément ?

    Ou verra-t-on, dans un incroyable retour du passé, surgir un 22 Avril similaire au 21 Avril 2002, avec (ô effroi) une disparition fortuite de la baudruche Ségolène, dégonflée par l’inadvertance du bon sens des électeurs ?

    J’aimerais être Saint-Menoux (celui du Voyageur Imprudent de Barjavel), aller voir tout de suite et revenir vous le dire... Car parfois, comme disait naguère Claude Duneton, je suis comme une truie qui doute !


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