Rodolphe de Gérolstein

Les images de l’hôpital bombardé, ou plutôt ce qu’il en reste.
On s’attend au pire, et on voit 10 bagnoles brûlées sur un parking.
On dirait juste Roubaix un soir de 14 juillet.

Le tir meurtrier, dont Israël et les mouvements armés palestiniens se rejettent la responsabilité, a fait « quelques dizaines de morts » et non des centaines, a affirmé mercredi un responsable d’un service de renseignement européen.
  

Dans cette affaire Biden se comporte en ‘mensch’. Il soutient Israël en actes comme en paroles — or, dans la circonstance actuelle, face au pogrom et à la haine génocidaire islamiste, c’est tout ce qui compte.

@charlyposte
 
Ah oui bien sûr, c’est bien connu que les Etats-Unis et l’Europe ont un grand amour pour les borschts et les varenykys ukrainiens, c’est pour ça qu’ils ont décidé d’envoyer leurs armées pour en profiter sur place ! Et puis pourquoi pas, tant qu’on y est, allons conquérir la Russie pour goûter aux fameux blinis et au caviar.

Poutine vient juste de déclarer que le bain de sang à l’hôpital de Gaza est le signe qu’il faut arrêter les combats.

Poutine ? Qui parle d’arrêter des combats ?

Ah, merci Vladimir pour cette bonne blague !

Je ne savais pas que Poutine avait un sens de l’humour aussi piquant.

Peut-être devrait-il envisager une carrière dans le stand-up comedy plutôt que dans la politique internationale. 

@Seth
  
Le Djihad Islamique Palestinien avait annoncé à la cantonade qu’il allait lancer une super-roquette de sa conception sur Haïfa. Cela devait constituer un record de Palestine de la plus grande distance parcourue par une bombe volante.
  
Mais si la lourde fusée bourrée d’explosifs s’éleva d’abord comme prévu, en raison d’un dysfonctionnement ou d’une erreur de conception de l’agence spatiale islamique de Gaza, la roquette se disloquât avant que ses divers composants ne se dirigent en direction du sol et retombe sur al Ahli.
 
Un crime de guerre supplémentaire perpétré par les factions terroristes islamiques palestiniennes de Gaza. Cette fois, aux dépens de leurs administrés.