• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Canine

Tableau de bord

  • Premier article le 21/07/2008
  • Modérateur depuis le 11/08/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 5 846 330
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 65 26 39
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique








Derniers commentaires



  • Canine Canine 11 août 2011 20:35

    « Canine, lire »socialistes" au sens large, celui de la fin du XIXème début du XXème, date des écrits de l’auteur, et qui englobe tous les courants du socialisme, marxisme compris...« 

    Ok, c’est donc l’option »erreur« anachronique que cela relève, n’ayant pas le courage et pas forcément non plus les connaissances pour faire un tableau comparatif de tout les courants socialistes du XIX et XX, je n’en débattrai pas.

    Cela dit, il y a un autre point que je trouve gênant dans les propos de ce Makhaiski :

     »La révolution ouvrière n’exige aucune rééducation des houligans. Bien au contraire, il faut que les sentiments et les aspirations des masses affamées, ce que la bourgeoisie et les socialistes appellent houliganisme, se répandent parmi toutes les couches de la population ouvrière, afin que ces sentiments et aspirations soient réunis en une exigence unique. Il est indispensable que les ouvriers exigent de la bourgeoisie cultivée, comme le font les houligans, non pas des droits politiques, non pas des idées grandiloquentes et de l’éducation, mais de l’argent bien réel, des biens matériels les plus terre à terre.« 

    Au delà du fait que je doute sévèrement qu’un auteur du siècle dernier ait pu aborder la question du hooliganisme, il manque une case au développement de sa pensée. »Afin que« ce n’est pas une méthode pédagogique, c’est juste un souhait. Comment fait on pour unir »dans des aspirations réunis en une exigence unique« des gens sans éducation, ni idéaux politiques ? Comment fait on pour unir des gens contre la bourgeoisie, alors que cette bourgeoisie peut acheter la conscience de ces gens, de ce lumpenprolétariat, précisément parce que faute d’éducation et d’idéaux politiques, il a le nez rivé sur »l’argent bien réel" et la marque de ses vêtements ? Je ne connaissais pas cet auteur que vous nous citez ici, mais il me semble qu’il n’a strictement rien compris au principe de l’aliénation, et à la prise de conscience qui doit en sortir dans la théorie marxiste. Il me semble que la pensée de ce monsieur, c’est que le sous prolétariat est la solution, en ce sens qu’il pourrait exiger par la force de la bourgeoisie qu’elle lui donne des sous, sinon il lui casse la gueule, en gros, la loi du plus fort comme moteur de justice sociale. Le problème avec la loi du plus fort, c’est qu’elle favorise justement le plus fort, et que le lumpenprolérariat constitue la classe la plus faible.



  • Canine Canine 11 août 2011 18:16

    La violence c’est eux, qui emploient la force pour mater la révolte, qui distillent la division dans notre camp en stigmatisant les jeunes et les travailleurs sans emploi et sans avenir, sous le terme de « casseurs ».

    C’est ça le truc mis en évidence par Engels, « ils » n’ont pas besoin de distiller la division, quand un sous prolétaire pille et brule la maison d’un prolétaire, ça détruit intrinsèquement la conscience classe. Pensez vous vraiment qu’entre ces deux là, une conscience de classe puisse naitre ? Ce que vous faites semblant de ne pas voir, c’est que les émeutiers ne font pas que récupérer des biens de luxe qu’ils auraient produit et dont on les aurait spolier, ils agressent leur voisin, pillent et détruisent leur propre quartier. Et c’est pour cela qu’aujourd’hui, en dépit du niveau d’éducation et d’information que l’on possède, l’oligarchie financière règne chaque jour un peu plus, parce que les partis comme le NPA sont les premiers à créer la confusion entre sous prolétaire et prolétaire. D’ailleurs, il y a une réelle erreur, feinte ou volontaire (sauf à ce qu’elle ne soit que anachronique) dans les propos Makhaiski que vous reprenez : "Les socialistes et les sociaux-démocrates en particulier, en commun d’ailleurs avec toute la société bourgeoise, s’efforcent de provoquer chez les ouvriers les mieux intégrés du mépris à l’égard des vagabonds, des plus pauvres, des “lumpenprolétaires”. Les socialistes n’hésitent pas, à cette fin, de nourrir chez les ouvriers les instincts les plus féroces de l’ordre d’exploitation« 
    La voix des socialistes est la première à nous expliquer que les »jeunes" qui pillent et brulent sont des victimes de l’économie, et que le, simple fait de vouloir s’en protéger constitue un réflexe fascisant. Un article du think tank du PS, terra nova, explique très bien cet éloignement entre socialistes des classes ouvriéres et employés. 



  • Canine Canine 11 août 2011 16:21

    Merci pour ces quelques précisions. J’ai écris l’article assez vite, la notion mérite effectivement d’être développé.



  • Canine Canine 11 août 2011 16:19

    "Convoquer Marx dans cette affaire permet juste à l’auteur d’exprimer son anticommunisme "

    Je ne vois pas en quoi la suite de votre commentaire justifie cette affirmation, d’autant que votre premier argument est :

    « La violence est toujours condamnable . Voilà, c’est dit . »

    et que personnellement, ce n’est pas du tout ce que j’ai dis. Les statistiques sur la discrimination je les connais, et je vous pose la question : en quoi ces pillages vont aider à les faire baisser ?



  • Canine Canine 10 août 2011 22:05

    En tant que «  »jeune anglais«  » (avec double doses de guillemet) je remercie l’auteur de me donner son nom et son adresse, afin que je puisse venir vider puis bruler sa maison. Merci.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv