Et son avis va dans le sens de la Ligue pour la Défense des Conducteurs. J’ai donc signé la pétition, et je vais suivre tous les renseignements, notamment sur la Société ATOS dont le Conseil d’administration comprend Thierry Breton et Nicolas Bazire.
Merci Morgane d’être allée nous représenter à l’Assemblée Générale de l’AAAVAM, malgré toutes les difficultés, souffrances, que tu rencontres au fil des jours, depuis que l’on t’a prescrit cette drogue AGREAL. Qui mieux que nous, femmes, peuvont juger des souffrances qu’a engendré ce pseudo médicament, mis sur le marché dans le seul but de faire du FRIC. Notre quotidien est la lutte contre AGREAL, le soutien aux femmes abimées, torturées par AGREAL ; nous n’entendons pas baisser les bras et nous espérons que cette affaire, que l’on essaie de camoufler« résonnera bientôt dans tous les foyers, afin que tout le monde se pose les bonnes questions : »ma maman prenait, elle est décédée...elle s’est tuée...elle est enfermée ; je sais maintenant pourquoi ma soeur va si mal, je peux la croire ; ma voisine, prenait AGREAL," ainsi de suite.
Il y a beaucoup trop de coupables dans toutes ces affaires, en commençant par l’organisme qui donne l’autorisation de mise sur le marché de telles drogues, l’AFSSAPS qui savait, la S.S. qui ne pouvait ignorer, les médecins et les pharmaciens, sans compter bien évidemment l’Etat et leurs copains de l’industrie pharmaceutique.
J’espère que la lumière sera faite sur cette triste affaire et que cette maman pourra serrer ses enfants dans ses bras très prochainement.
Une de mes voisines gardent des enfants à la journée, des touts petits ; j’ai pu constater bien souvent, qu’elle arrivait de courses derrière moi, seule........les volets de l’appartement étant complètement fermés. Aux heures de sorties d’école, elle partait à toute allure en voiture, pour aller chercher ses propres enfants, tout en laissant évidemment les petits seuls et en fermant ses volets. Bien que bénéficiant d’une pelouse, ces petits ne prenaient jamais l’air, elle oui par contre. J’ai rarement vu ces enfants, mais lorsque le mari rentrait du travail, c’est lui qui les avait dans les bras et jouait dehors avec eux. Les enfants qui marchaient se précipitaient en riant, dès qu’il arrivait.
Nous sommes persuadées que des milliers de femmes ne savent pasENCORE POURQUOI leur vie est DETRUITE ; il doit certainement y avoir des femmes en psychiatrie, neurologie, et autres, sans compter le nombre de suicides, qui ne seront JAMAIS imputés à ce pseudo médcament, afin de protéger le corps médical et les laboratoires SANOFI et GRUNENTHAL.