Je ne suis pas fan de ce mariage gay, il me semble que ça doit toucher une petite poignée de gens.impossible de savoir combien,c’est ça qui me dérange.
il aurait à mon avis suffit d’améliorer le pacs pour restituer une égalité concernant les droits de succesion et l’autorité parentale en cas d’éducation conjointe d’un enfant.
Je pense que tout ce battage est là pour masquer le fait que nos parlements,impuissants,ne décident de rien qui soit important pour nous .
Pendant ce temps là, à Bruxelles , la finance et le capital avec l’aide des lobby arrangent toutes les lois derrière notre dos à leur avantage.
Et nous, on irait manifester pour ou contre ce mariage ? alors que l’on devrait aller manifester pour l’abandon de la dette illegitime des états ! on est en train de nous endormir avec ce chiffon rouge en attendant d’être mangés à la sauce Grecque.
Et en plus voilà maintenant que tous les philosophes et psy ont un avis sur la question.le cirque est loin d’être fini !
Sinon, Je persiste tout de même à penser que l’église est la moins bien placée pour les conseils.
« le nombre total d’enfants enlevés entre les années 40 et 90 oscillerait entre 136 062 et 152 237. Le trafic de bébés s’appuyait sur des réseaux impliquant des gynécologues, des infirmiers, des sages-femmes, des chauffeurs de taxi, des avocats et des gens d’église : mères supérieures et prêtres. »Leur rôle était essentiel, estime le sociologue González de Tena. Ces religieux à la solde du régime national catholique inspiraient crainte et respect, et offraient aux enlèvements un paravent caritatif.« Selon lui, le nombre total d’enfants enlevés entre les années 40 et 90 oscillerait entre 136 062 et 152 237. Le trafic de bébés s’appuyait sur des réseaux impliquant des gynécologues, des infirmiers, des sages-femmes, des chauffeurs de taxi, des avocats et des gens d’église : mères supérieures et prêtres. »Leur rôle était essentiel, estime le sociologue González de Tena. Ces religieux à la solde du régime national catholique inspiraient crainte et respect, et offraient aux enlèvements un paravent caritatif."