Vous me rejoignez totalement sur le plan épistémologique en
disant ceci « Le « deux » peut-il concevoir ce qu’est le
UN ?
La dualité résolue est déjà présente dans la première phrase
de la Thorah . ceci je l’ai déjà démontré. Je dis bien résolue car au
commencement tout est déjà parfait, disons une perfection en attente d’être
développée.
Je dis toujours et j’ai écrit ceci de fondamental. Nous sommes liés à
Dieu dès les premiers instants de la vie. Ceci rejoint votre « Car
vous êtes morts et votre vie est cachée en Dieu avec le Christ »
Vous dites La « connaissance pervertie du « bien et du
mal » qui constitue la nature de la faute originelle » Je ne suis pas
d’accord. La faute originelle c’est déjà de l’orgueil de savoir qu’on peut etre
Dieu uniquement par la faculté de distinguer. On retrouve l’orgeuil dans la
signification du 666 et juste après le résultat de ce qu’il provoque avec la
grande maquerelle de la Babylone ancienne puis moderne qui inverse tout le
discours du Christ.
« faire fructifier notre « je suis » Entièrement d’accord au
lieu de mettre en valeur le JE SUIS qu’est Dieu, traduction YHWH
C’est une façon de compter par triangles pythagoriciens, 153
procédant de 17 et 666 de 36. La notion de « gloire » est employé
essentiellement par les kabbalistes, depuis Abelio je crois puis, Jean Bardet,
Mathieu dans son sillage etc, dans le sens de « Summum ».