Caroline Courson
Après des études de Lettres Classiques, je me suis fourvoyée dans des licences d'Archéologie et de Psychologie, avant de rentrer dans le rang en obtenant le diplôme du CELSA au sein de deux sections différentes, journalisme et publicité (oui, c'est antinomique, mais il faut bien vivre !).J'ai partagé mon temps entre des chantiers archéologiques (qui se font rares depuis la crise), l'écriture de livres pour enfants, la publicité et le journalisme (free-lance), la conception de pièces de théâtre et de scénarios pour ballets contemporains, ainsi que les cours dans l'enseignement supérieur ("Techniques d'expression" en IUT et Ecoles d'ingénieurs).
Bien que vivant en pleine campagne, je garde toujours un oeil curieux braqué sur le monde, et les articles que j'écris, qui concernent plutôt une certaine vision critique de la société que l'actualité proprement dite, sont souvent assez iconoclastes, et essaient de faire montre d'un humour pas toujours bien percu !
Tableau de bord
- Premier article le 19/05/2012
- Modérateur depuis le 23/05/2012
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Derniers commentaires
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Merci Raphaël, au nom de tous les « doctes, secs, stériles archéologues » !!!
Je ne me reconnais pas du tout dans ces qualificatifs.Vous n’aimez pas les monuments ni les vieilles pierres, c’est votre droit le plus absolu.Mais que serait aujourd’hui l’humain sans tous ceux qui l’ont précédé ?Ma devise est : « un esprit international et une conscience historique ». La curiosité dans le temps est aussi importante que celle dans l’espace, et les voyages que vous semblez apprécier ne sont rien d’autres que ces deux découvertes associéesOn ne peut séparer les « sciences humaines » auxquelles vous vous référez en préférant les rencontres avec vos semblables de l’Histoire et de la Géographie. C’est un tout qui a fait et continue à faire l’homme.Cela dit, votre article est intéressant - même s’il me fait penser à une vieille tante qui m’a dit un jour : « Ah, c’est pas beau la Grèce, c’est rien que des chantiers de démolition » ! -
Bonjour Vipère,
Je me moque de la belle gueule, bien sûr !Il s’agit juste d’un cri d’amour (et d’humour) à l’extrême gauche grecque !Mais vous l’aviez bien compris ainsi.(Et pour info secrète, le bel Apollon en question a l’âge de mon fils...)Merci de votre commentaire, j’ai eu au moins deux lecteurs inespérés
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Ah bon ? J’ignorais que le sérieux était obligatoire
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Des moules, pas des nouilles !!!
Cette précision n’a aucune intérêt - sinon que Desproges n’était pas vraiment branché macaroni... -
Merci Sandro !
Il faisait partie de ce qu’on appelle la mémoire collective, et cela même pour les pires des anti-footeux dont je suis.Avec lui, c’est vraiment, comme vous le dites, toute une époque qui disparaît. Et, même si la nostalgie n’est pas de mise, on a le droit d’être effrayé par avance à la pensée de l’époque qui va suivre et qui ne s’annonce pas, a priori, sous les meilleurs auspices...(Et je confirme : le chef-pâtissier fait ça par pure méchanceté )
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