Remettre en question la rue, ne vaut pas louange à son adversaire. Je remet en question son efficacité par rapport à d’autres forme d’expression et de contre-pouvoir, sa légitimité démocratique, la clarté de son discourt, sa résistance à la manipulation, à l’instrumentalisation et la récupération.
Je suis également très critique de notre démocratie par élection, mais chaque chose en son temps.
@Samson Exactement, en 1789, ils n’avaient pas Facebook..... Et aujourd’hui ? Facebook et autres milliers de milliers de supports d’expression libre, de proposition, de changements participatifs, ... avec chacun ses qualités et ses défauts. 1789 et critiquer la rue en 2020 est blasphématoire ? Sérieux ? 1789 c’est la loi Godwin version révolution Française.
@gaijin Vous m’avez mal compris, une voix DEVRAIT ne valoir qu’une seule voix, et vous avez raison, on ne DEVRAIT pas ce laisser influencer par les voix artificiellement gonflées, comme les médias de masse, et comme — entre autres — la rue.
Pour « l’oligarchie », Il fallait saisir l’utilisation volontaire du terme, pour l’étendre et l’appliquer à ce qui est apparement incritiqué et incritiquable. Ayez un peu de courage, n’allez pas là où tout le monde vous ouvre les bras.
@nemo3637 Remettre en question la rue, ne vaut pas louange à son adversaire. Je suis également très critique de notre démocratie par élection, mais chaque chose en son temps. Et je suis entièrement d’accord avec vous ! Mais la rue...entre nous... On peut mieux faire mieux comme moyen d’expression et de contre-pouvoir, vous ne pensez pas ? Sortez de ce duel manichéen, il y a tellement d’autre options.
@devphil30 Je suis travailleur indépendant, je n’ai pas de congés payés, les divers avantages que mon statut propose n’ont pas était le fruit des « marcheurs » mais on s’en fout de moi ?! N’est-ce pas ? Ce qui est surprenant, c’est quand on « révise l’histoire », l’histoire nous dis que la majorité des acquis sociaux ont été obtenues sans le moindre jour de grève, sans le moindre pied sur le bitume. Bien que culturellement, cela nous paraît comme une évidence, c’est une idée reçue.
Honteux ?
Parce que je remets en question l’efficacité de la rue par rapport à d’autres formes d’expressions et de contre-pouvoirs ? Sa légitimité démocratique ? La clarté de son discourt ? Sa résistance à la manipulation, à l’instrumentalisation et la récupération ?
Remettre en question la rue, ne vaut pas louange à son adversaire. Je suis également très critique de notre démocratie par élection, mais chaque chose en son temps. Sortez de ce duel manichéen, il y a tellement d’autre options.