Florentin Gastard@Auteur de l’article - Je n’ai jamais lu dans un article une telle abondance de vérités avérées et de contre-vérités sorties de l’esprit d’un utopiste ayant du mal à maitriser ses « humanités » ! Tout le monde ne s’appelle pas Zola et le problème de l’identité nationale qui finira tel un boomerang par revenir dans la gueule de son initiateur n’est pas l’affaire Dreyfuss... « Qui ne se souvient pas du passé sera appelé un jour à le revivre ! » cela veut dire que quoi que vous en pensiez, nous avons une histoire, des traditions, des us et des coutumes parfois différentes d’ailleurs d’une région à l’autre et c’est très bien. D’autres peuples ont les leurs et je n’y trouve pas à redire... Cependant, si la France sait se montrer accueillante, ce n’est pas pour autant qu’elle doive se plier aux exigences de professionnels de la victimisation qui veulent se conduire chez nous comme en terrain conquis ! Il y a assez d’endroits de par le monde où ils pourront constater que sans être idyllique la démocratie française est et reste ouverte aux HOMMES DE BONNE VOLONTE
Les minarets auraient du mal à s’intégrer dans un paysage de chalets suisses : Ce n’est pas tout à fait le même folklore... Nous ne bâtissons plus de cathédrales et nos nouvelles églises ont su par leur architecture se fondre dans le paysage ! N’en déplaise aux intégristes musulmans, la Mecque ne comporte pas de minarets...
D’une éducation basée sur le mérite et même la « méritocratie, je pense avoir compris votre logique à la lecture de »L’art d’aimer« d’Ovide... En effet, comment être heureux dans la vie si on doit perdre son temps à la gagner au lieu que d’en jouir. Aussi, je joins quelques références de titres sur la paresse tirées je dois bien l’avouer d’une recherche sur »WIKIPEDIA«
Paul Lafargue, Le Droit à la paresse (Réfutation du « Droit au travail » de 1848), 1883 (nouvelle édition). Édition numérique disponible sur wikisource.
Kazimir Malévitch,La Paresse comme vérité effective de l’Homme, Paris, Allia, 1997.
La liberté et le choix de vivre dangereusement n’impliquent pas l’inconscience et le mépris de la vie d’autrui ! Qu’aurait-il pu se passer au débouché du tunnel s’il ne s’était malencontreusement planté ? Nul ne peut le dire... mais les cimetières sont pleins de rois de la route sans retenue et malheureusement de leurs victimes
Y - a - t - il lieu de débattre avec cet énergumène qui n’est pas prêt de faire la paix avec ses contradictions ? Sur le ring, dans le coin gauche nous avons un virus d’abord appelé « grippe mexicaine » au grand dam des voyagistes proposant des séjours idylliques « sous le soleil de Mexico » avant de devenir mi-aviaire, mi porcine ce qui ne faisait pas les affaires des éleveurs... Ce brave virus a donc été doté du nom barbare de A1H5N1, ce qui fait plus sérieux scientifiquement. Dans le coin droit, la gense politique et les labos qui dès son advenue,en la personne de nos gouvernants et en particulier du ministère de la santé nous ont fait savoir à grands roulement de tambours que notre pays était plus apte que n’importe quel autre à faire face au défi de la pandémie, que tout était prévu, minuté ! Devant tant de détermination, le virus s’est tenu coi... Bien sur, par ci, par là de petites alertes, quelques morts, mais des broutilles juste de quoi rappeler son existence. Vous rendez-vous compte : est-ce une vie de virus que d’attendre que les chercheurs des divers laboratoires pondent un vaccin susceptible de le juguler. Vu l’« urgence » plus de 6 mois après les premiers cas avèrés, point besoin d’essais longs et couteux avant l’autorisation de mise sur le marché... Les laboratoires sont tellement surs de leur fait et de « l’excellence » de leurs produits (sauf en cas de probables mutations) qu’ils font signer à leurs acheteurs des clauses de non-poursuites judiciaires au cas où on voudrit les décrêter "responsables mais pas coupables ! Et vous voudriez que nous nous fassions vacciner dans des conditions d’hygiène lamentables dues à l’utilisation de locaux non appropriés et à l’encontre de l’avis d’une majorité de personnes des milieux médicaux qui n’entendent pas se faire piquer