L’Union Populaire républicaine et son président François Asselineau ont
fait l’objet, depuis plusieurs semaines, d’attaques extrêmement
virulentes de la part de “Marie-Anne Boutoleau”, prétendue “journaliste
indépendante” dont le véritable nom est Mlle Ornella Guyet. Ces
attaques, diffusées sur les sites … Continuer la lecture →
je connais assez bien la psychanalyse pour m’y être intéressée et pour avoir vécu une analyse une psychothérapie durant 4 ans , cela laisse bien sur une radiographie de l’inconscient sur laquelle on peut travailler si toutefois il n’y a que peu de dégâts ... après quoi les sciences humaines que sont la psychologie la psychiatrie restent bien impuissante face a de grave problème neurologique si par ailleurs ces dernières n’ avaient pas accès a des molécules chimique nous serions encore dans la médecine psychiatrique de l’enfermement du ligotage et des électrochocs a haute intensité , bien que ce dernier soit rebaptisé sismographe et permet aujourd’hui de soulager a plus faible intensités les cas grave de dépression ... il faut être cohérent devant ce débat du genre personne ne détient la vérité absolut il semble que tout cela soit infiniment plus subtil qu’il n’y paraisse , les théoriciens du genre doivent étayer leurs hypothèse par l ’observation clinique et sur un grand nombre d individu de tout origine , seul une méthodologie de recherche clinique peut éclairer la question , malheureusement pour les « anti gender » les observations actuelle semblent allez dans le sens des sociologues , cependant il y a bien un développement « au féminin » et « au masculin » du cerveau des la 5 eme semaine de gestation l histoire pathétique des intersexués ( les enfants née au sexe indéterminé ) est terrifiante et donne des pistes sur la structuration neuronale du cortex cérébral , tout semble se jouer a la gestation , le sexe visible n ’étant que la partie émergée de notre qualité « homme » ou « femme » mais ne constitue pas pour autant une catégorie claire et immuable , le cerveau semble le seul a nous déterminé les hormones en sont semble t ’il un des vecteurs a certain moment de notre existence, voir par exemple l’adolescence , je vous propose de vous informer sur les parcours des intersexué vous allez observer certaine choses extrêmement intéressante sur la façon dont se développe ces personnes qui ont subis durant des décennie les préjugés du sexe ou du genre .des leurs naissance celui de l’état civil puis celui du chirurgien et pour terminer celui de sa famille et de la société , malheureusement a la naissance il y a une chance sur deux de se tromper . là on a clairement les aspects neurologique du cerveau se développant par la suite et son empreinte sociologique et culturelle ... le cas des intersexuée est extrêmement démonstratif sur le plan clinique et sur le long terme ..
vous confondez observation et interprétation de ces observations , la rigueur ici , interdit dans la mesure ou nous sommes sur un terrain scientifique .... la fantaisie , la mauvaise foi est toujours possible mais très vite réfutable , particulièrement dans le domaine de la recherche , la problématique OGM en est a la lecture des événements récent l’expression la plus criante ... alors oui la démonstration en science humaine de la théorie du genre reste discutable mais a la lecture des découverte en neuroscience grâce a l’imagerie médicale in vivo a des niveau microscopique il est frappant de constater que cette théorie est pertinente et de moins en moins réfutable ... navrée pour l’auteur de l’article .
navrée mais la psychanalyse n’est absolument pas une science et joue des métaphores ; de la symbolique pour tenter d’ étayer des « théorie » qui ne sont que des hypothèse de travail mais n ’en demeure pas moins des pistes parfois , parfois seulement interressante ... la nous sommes dans l’empirisme certainement pas dans l ’observation factuelle en neurologie et imagerie médicale in situe , navrée les découvertes en neurologie par l ’imagerie médicale procède de la démonstration factuelle et scientifiquement irréfutable ( puisque vous évoquez Popper ) au contraire ces dernières étayent précisément les approches théorique des sciences humaines , qui elles sont de nature empirique je le concède ... je m’en tient aux observations et a leurs méthodologie de-ontologiquement scientifique que sont les recherches en neurologie , pour le moment a la lecture de ces découvertes la « très fumeuse théorie du genre » est étayée par ces recherches et les découvertes qui en découle , documentez vous et faite vous votre opinion .