Non, aucune logique. Relisez ce que j’ai écrit. Qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme, une situation de détresse est triste. Il ne s’agit pas d’une prise de partie, encore une fois un simple constat. La situation des femmes est plus difficile(dans le nombre) que celle des hommes. Et non, je ne suis pas assistante sociale. Pauvre fille ? Sans doute puisque vous semblez en avoir la certitude. Lisez ce que j’écris avant de critiquer. Puisque visiblement nous disons la même chose.
vous êtes la bienvenu. L’âge c’est aussi l’expérience. Vous avez traversé plus de choses que moi.Je suis preneuse de toute connaissance et expérience. Au plaisir.
Bonsoir Annie. Le mythe du prince charmant tient bon. C’est impressionnant. Mais avant tout, je crois que nous cherchons tous et toutes la meilleure façon de passer nos années sur terre, en la meilleure compagnie possible. C’est si agréable de pouvoir tout partager, y compris le moins beau, avec une autre personne. Tout le monde veut plaire et quand même nos défauts paraissent beaux à celui ou celle qui partage notre vie... c’est quand même agréable. Alors oui, quand on ne l’a pas, on s’efforce de le chercher, et en attendant, chaque petit bonheur est bon à prendre. (c’était le quart d’heure fleur bleue ! Merci pour votre passage.
Effectivement, et je vous en remercie, le problème de base de cet article et de la vie quotidienne est le problème économique. Même si, et n’en déplaise à certains, les femmes sont moins bien payées, ce n ’est pas pour cela que les salaires, de façon générale, sont suffisants pour vivre correctement pour nombre de personnes (hommes ou femmes). Quand une maison valait 300 000 francs, soit en 1998 par exemple, elle se vend aujourd’hui 300 000€ (soit 6.55957 fois plus) et idem pour de nombreux biens de consommation. En revanche, lorsqu’on touchait environ 5500 francs (de mémoire) au smic, aujourd’hui, on touche 1100€ (soit environ 6700 francs). Alors comment se loger, se nourrir, s’habiller (et ne parlons pas de sorties et vacances)... quand tout augmente de façon démesurée, exception faite des salaires ? Merci pour votre message.
Vous vous occupez de ce qui nous concerne tous de près ou de loin. C’est vrai que nous avons tous aujourd’hui une (trop ?) grande facilité à balayer un mariage parce que c’est plus simple que de régler les problèmes. Mais pour certains, continuer à se battre jour après jour pour sauver ce qui ne peut l’être est une torture quotidienne. Et oui, je suis assez d’accord pour dire que la liberté est à double tranchant. On en veut toujours plus, on croit toujours qu’il peut y avoir mieux ailleurs en perdant de vue que ce que nous avons est peut être déjà le plus proche possible de la perfection que nous tendons à rechercher. C’est aussi ça le mariage : un combat de tous les jours pour supporter les frustrations de celui ou de celle qu’on aime. Parfois, ce n’est pas possible. Et parfois.... c’est dans ces combats quotidiens que l’on renforce les liens. mais vous avez raison : de quoi me mèle-je également ?