je suivrais Marcel chapoutier. Morice, malgré son style lourdingue et ses embrouillaminis, démontre que tout n’est pas clair dans cette libération. Que Bétancourt a non seulement été l’otage des médiarcs, mais encore qu’elle est l’otage des gens de pouvoir les plus réactionnaires de notre temps. Mieux, elle leur est tombé dans les bras. Mieux, encore, elle croit au miracle. Sa libération est une bonne chose ( comme pour la libération de tout être humain), mais ce qui a suivi est triste pour son image. Elle est devenue la madone des bobos. Bon elle va écrire une pièce de théâtre ne voyant pas qu’elle a été elle même le personnage d’une triste farce.
Nathalie, vous ne devriez pas écrire ce genre de choses qui ne montrent que des jugements de valeur, donc sans valeur ! On argumente ou l’on se tait.
morice donne des infos , souvent avec une certaine maladresse, parce que, comme tout le monde le sait, trop d’infos tue l’info ! il sait ajouter, mais peu (pas ?) soustraire, on arrive donc a un fouillis, un discours qui perd en clarté. Il a raison et plus de vouloir traquer l’infamie. Mais tout n’est pas qu’infamie. C’est cette mesure que sa rage de démontrer ignore. Il semble ne voir qu’ en noir un monde coloré, même si la réalité socio économico politique est souvent couleur caca d’oie.
Toute démonstration n’est efficace que si elle est élégante dans le style et dans le développement. A mon sens, il serait mieux compris s’il divisait par deux ou trois ses articles, évitant les ellipses et ne bastonnant que sur les point forts et imparables. Je dis cela parce que même avec ma patience, qui n’est pas mince, je n’arrive pas à tout suivre tellement il y a de sous-entendus et d’arguments labyrinthiques. Cela dit morice travaille dur pour nous, il est son propre exploiteur, c’est déjà cela.
15 jours de boulot ? Mazette ! morice est un travailleur de fond. Son article m’a épuisé, niqué les yeux et bouffé mon temps compté ! what a prise de tronche !
Dommage, qu’il (morice) ne maîtrise pas son chaos. Comme d’habitude il en fait trop et on a du mal à suivre. Il sait analyser dans les moindres détails des bouclettes du poil du cul, mais, question synthèse : il part en vrille.
Je lui conseillerais quand même de résumer sa thèse dans une conclusion. Si on comprend le but de traiter presque exhaustivement son sujet, à la fin, cela donne TOUJOURS un pudding qui vous reste sur l’estomac. Cela dit, j’adhère, à peu près à sa thèse, quoique je ne pense pas le monde d’une façon aussi "horlogèrement " démoniaque. Je veux bien croire que les forces du mal qu’il traque par les mots soient géniales dans leurs noires stratégies, mais pas autant que morice le croit !
Essayiste et philosophe, OK, mais théologiens on s’en passe avec une joie non contenue !
Le boffisme fait des ravages ! Vivement que l’on touche le fond !