Les Italiens sont exaspérés. On l’a vu lors des élections législatives du 4 mars. A Macerata.
Je rappelle les faits : A
Macerata, dans les Marques (côte adriatique), une jeune fille de 18 ans a été
assassinée dans des conditions particulièrement atroces, par des Nigérians. Son
corps a été découpé et les morceaux ont été mis dans deux valises-trolley, à l’exception
du cœur et des organes généraux externes, qui n’ont pas été retrouvés - ce qui fait suspecter une sorte de rituel vaudou.
Le 3
février un jeune extrémiste du lieu, Luca Traini, apprenant cela, a pété les
plombs, est rentré chez lui pour prendre une arme de poing, avant de ressortir
pour tirer sur un groupe d’Africains, faisant six blessés.
Les
journaux, tant en France qu’en Italie , parlèrent de « pays sous le choc », et tous
soulignèrent que Traina avait été candidat de la Ligue du Nord, lors des
élections municipales de 2017. A un mois des législatives italiennes, dont la
campagne était marquée par l’anti-immigrationnisme, cet acte insensé fut
largement utilisé pour tenter de décrédibiliser la droite, que certains sondages
donnaient gagnante.
Le
4 mars, jour des élections, la coalition de droite arriva en tête malgré
le matraquage de la caste médiatico-progressiste. Mais la plus grande
surprise vint
de la circonscription de Macerata qui, pour la première fois de son
histoire,
envoyait le candidat de la Ligue, l’ancien parti de Luca Traini, pour la
représenter à Rome.
Ca en dit long sur le ras-le-bol.
J’ajoute à propos de Golias est une officine d’extrême gauche, d’inspiration vaguement catholique. Et à propos de Dingoglio, que ce type se comporte comme un NO BORDERS, ce qui plaît bien à Golias.
P.S. - Ceux qui veulent savoir ce qu’il se passe vraiment en Italie et qui comprennent la langue, consulteront avec votre profit le site http://tuttiicriminidegliimmigrati.com/ (tous les crimes des immigrés, donc).