Quand un psyciatre italien déclare que Macron est psychopathe, on l’enterre - le psychiatre, pas Macron, le psychiatre - en disant qu’il est proche de l’extrême-droite.
Quand il s’agit de Trump, qui a contre lui grosso modo, la même clique mondialiste et mondialisante, que le Front national, on ne se pose pas la moindre question sur les mobiles politiques d’un « groupe d’experts psychiatres de Yale », qualifiés de « chercheurs »
Dans toutes les affaires déclenchées par le Canard enchaîné - du fait de ses liens avec la place Bauveau et des manipulations auxquelles il se prête - ce qui m’intéresse, c’est à qui le crime profite.
Non, non, j’en suis moi-même. Je connais mes limites. J’ai compris, avant de le lire sous la plume de Schopenhauer que « L’homme peut certes faire ce qu’il veut, mais qu’il ne peut pas vouloir ce qu’il veut. »
Je
ne crois pas au libre arbitre, et je pense que 80 à 85 % de nos actes
et décisions reposent sur l’affectif plutôt que sur la raison. Et encore ne sommes-nous, par définition, pas conscients du rôle de l’inconscient.
Quant
à François d’Assise, comme premier homme orbital, c’est évidemment un
idéal impossible à assigner comme objectif à qui que ce soit, d’autant plus
que, du point de vue d’une amélioration de la société de son temps, ça
n’a déjà rien produit de tangible et d’observable.
"une approche intellectuelle, une pincée de rationalisme, dans un
chaudron d’humanisme pratique, de fraternité active et vécue, dans
l’immense champ du vivant et de l’univers, peut être utile à certains."
Sans
doute, mais j’avoue que ce genre de considérations me dépasse un peu,
car je ne parviens pas à les intégrer dans le développement prévisible
d’une société. Il y a toujours eu des idéalistes et des philanthropes,
dont les espoirs et les prévisions ne se sont jamais matérialisés. Et la diversité des peuples et des sociétés est telle, que je ne crois à l’universalité en aucun domaine.
Les choses étant ce qu’elles sont, en Macronie, on peut quand même se demander si elle n’a pas été choisie pour tenir le rôle, humiliant, de la « négresse de service » ?