« ....et je n’aurais jamais parlé si l’autre, le Omar, n’était revenu agiter sa marotte préférée dans cette discussion aussi.... »
Et je viens de voir qu’il avait remis ça à 10:50. Les crimes des Blancs, et les « crimes » aussi, c’est son truc à lui, comme les gonzesses, c’est le truc à Mitch-Mitch dans 100’000 dollars au soleil.
Alors, faut faire avec, en se disant qu’il va peut-être, Omar aussi, commencer à pelleter quand même.,
« Qu’est-ce qui te fait croire qu’ils avaient besoin d’aller sur la lune ? »
C’est aussi une métaphore. J’aurais pu parler de la découverte de la nivaquine ou de la construction de la première locomotive... J’aurais pu parler aussi de cet insolite complexe, étrangement sans suite, qu’est Zimbabwe la Grande.
« C’est vrai, les Arabes ont castré les hommes. Mais leur traitement des femmes... »
Personnellement, ça ne m’intéresse pas. Chez les Arabes aussi, c’étaient les pratiques d’une époque - encore que... -, et je n’aurais jamais parlé si l’autre, le Omar, n’était revenu agiter sa marotte préférée dans cette discussion aussi.,
« Pourtant, c’est par là qu’il devrait commencer. »
C’est la grande faiblesse d’AgoraVox. J’espérais que ma métaphore permettrait d’instauration d’un vrai débat, avec de vrais arguments, mais ce projet a buté sur l’intrusion d’Eranova, dont les la poature, bardées de certitudes, n’est pas sans rappeler celle des évangélistes itinérants mandatés par les Tàémoins de Jéhovah, et d’Omar qui ressasse le même discours victimaire depuis août 2010.
Même l’auteur n’a rien à dire de ma métaphore que, le cas échéant, j’aurais pris la peine, et certainement eu le plaisir, de défendre et d’expliquer.
« A quel prix et de
quelle manière les américains sont arrivés sur la lune ? »
Ils y sont arrivés après cinq siècles d’histoire, qui fut ce qu’elle
fut, puisque les mœurs, pratiques et coutumes des époques traversées, n’étaient
pas comparables aux mœurs, pratiques et coutumes d’aujourd’hui.
« Après avoir génocidé
tous les amérindiens pour spolier leur pays. »
A l’époque, il y avait d’énormes surplus de population en Europe,
et d’immenses territoires à travailler et à mettre en valeur en Amérique du
Nord. Il y avait là une complémentarité historique, et les Amérindiens, plutôt
que d’occire systéamtiquement les Blancs, dès les premiers explorateurs, les
ont accueilli sinon à bras ouverts, à tout le moins aimablement. Ce sont des
fautes qui ne pardonnent pas.
« Grace
à l’héritage scientifique et culturelgréco-romainetarabo-perse. »
Il en allait de cet héritage comme des ressources naturelles :
l’essentiel ne résidait pas dans leur possession, mais dans la capacité d’en
tirer quelque chose
« Grace
à la traite des noirs et leK.K.K. »
Je ne vois pas bienla part du
progrès industriel, scientifique et technologique qui revient à la traite des
esclaves et au Ku Klux Klan.
« Grace aussi et surtout aux nazis et à un
certainVan Braunet
ses sinistresV1etV2. »
Tout le monde s’est servi a la fin de la guerre : les
Américains, les Bolchos, les Anglais et les Français.. Ces savants allemands
avaient accumulé une quantité de connaissances qu’il eut été aberrant, d’un
point de vue européen, de laisser perdre, sans chercher à les prolonger, ce qui
est dans les gênes de notre race, prométhéenne disent certains, et je le crois
volontiers.
« Et
puis, c’est magnifique de vous cacher derrière les amerloques, vous avez si
honte que ça , que laFrancene soit pas allée sur la lune ? »
Il n’y a pas de honte, les Etats-Unis étaient engagés dans une compétition
à couteaux tirés, avec les Soviétiques, et l’Europe – ne parlons même pas de la
France – n’avait pas les moyens financiers de relever un tel défi. Je ne vois
pas ce que la honte vient faire là-dedans.
« Quant à l’esclavage et en matière
d(ignominie, de bestialité et d’inhumanité, vous avez une référence
mondialement connue, tout un symbole ; l’ile deGorée. »
Dont l’approvisionnement dépendait des
livraisons effectuées par d’autres Noirs qui avaient trouvé là, une source de
revenus pratiquement inépuisable, dans la mesure où elle se renouvelait
naturellement jour après jour, grâce à la pratique assidue de la bête à deux
dos.
« Alors, je ne vous demanderai pas de vous
taire, mais d’aller vos cacher... »
Certainement pas. Si certains doivent se cacher, ce sont les
descendants des vendeurs, s’ils n’assument pas leur histoire avec la même
sérénité exempte d’anachronisme, qui est la mienne.