Certains médias possèdent même leurs cerbères qui sont
simplement dénommés « modérateurs ». De là à affirmer que les mal-pensants qui veulent d’exprimer
ont leur pseudo qui ne passent pas au travers des fourches caudines de leur
fichier des « bons et des méchants » bloggeurs, il n’y a qu’un pas que la Dépêche du Midi (par
exemple) aurait franchi à tel point que quand la critique (anti gauche) d’un
article va trop loin, elle ferme même l’accès aux commentaires.
Reporters sans frontière a déjà du travail dans l’hexagone.