A propos de la Corée du Nord, l’information suivant laquelle l’ex petite amie du chef suprême aurait été fusillée, ainsi que tout l’orchestre auquel elle appartenait, n’a pas eu l’heur d’intéresser nos plumitifs et bavardeux.
Cet article interpelle sur les sous-jacents dans cette affiaire.
Il y a fort à penser que, suivant les pratiques en vigueur, certains milieux qui sont très attentifs à ne pas apparaître en pleine lumière, manipulent le pouvoir politique et les média qui lui sont associés, calculant déjà le bénéfice qu’ils pourront tirer de la situation.
« La vision ou le chaos », telle était la conclusion de l’exposé de Jean-Marc Jancovici à la commission du développement durable de l’assemblée nationale en février 2013.
Démonstration, avec quelques repères à l’appui ( population mondiale il y a 2 siècles = 500 millions, aujourd’hui 7 milliards, soit multiplication par 14) que la croissance,c’est fini, et qu’il est urgent d’avoir une autre vision du « développement », vocable qui contient en lui-même la notion de « toujours plus ».
Et la terre n’en peut plus.
Cette nouvelle vision ne conduit-elle pas à assumer une décroissance qui semble inévitable, les arbres ne montant jamais jusqu’au ciel.
Une autre référence date de 1949.
Dans son traité de droit constitutionnel, l’éminent doyen Georges Vedel a exprimé que le libéralisme faisait glisser la démocratie vers la ploutocratie.
Ce qui peut apporter une explication à ceux qui s’interrogent sur le fait de savoir si nous sommes toujours en démocratie.
Et les lobbyistes, mandatés par la ploutocratie, d’ intervenir à tous les niveaux de décision pour orienter le processus pseudo-démocratique au mieux des intérêts de leurs mandants.
Il suffit simplement de remplacer le concept de ploutocratie par celui de nébuleuse financière pour comprendre comment fonctionne notre système planétaire ( ex : groupe Goldenberg )