« Lorsqu’une pensée s’offre à nous comme une profonde découverte et que nous prenons la peine de la développer, nous trouvons souvent que c’est une vérité qui court les rues. » Vauvenargues
et arrêtez de nous prendre pour des cons, vous essayez de nous faire croire que vous êtes offensée, alors que vous vous êtes tout simplement fourvoyée dans une histoire à dormir debout et sur un sujet que vous ne connaissez nullement votre article est BIDON !
après avoir visité votre site, je pense que vous n’êtes pas plus hindouiste que Mohamet !!!
Hugo Chávez reconnaitra cette amitié, évoquant « un grand ami » Norberto Ceresole s’est illustré comme l’un des auteurs négationnistes latino-américains les plus prolifiques. Affichant une proximité idéologique forte avec Robert Faurisson (dont il se déclarait volontiers l’élève et qu’il citait abondamment dans ses écrits[1]) ou Roger Garaudy
ah ils sont beaux nos nazionalistes révolutionnaires
Papa Mamba y va attendre pour cotise ; moi faire manche devant le Fouquet’s $$$ après gros calin avec mes griffes aux siamois Wallace&Gromitt
Shiva-la-mencheuse !!! Au-secours le minou ! Hey Calmos hein, user de violence envers quelqu’un qui fait la manche pour acheter à manger ? Vous représentez bien ce français moyen, passif, frustré et plein de haine. Le dédain des français est monstrueux, dès que tu leur demande 20ct, ils t’estiment justement à cette somme là.. T’as pas de tune ? T’es rien ni personne ! Par Shiva Shakti Shanti(xxx.xxx.xxx.120)2 août 18:27
Je suis pas à la rue, je suis à la dèche. Je pense qu’en province c’est encore pire, je me mettrai surement pas à mendier dans un village de beaufs qui me cracheraient à la gueule ! Par Shiva Shakti Shanti(xxx.xxx.xxx.120)2 août 14:27
eLLE est sympa SHIVA, pour elle dans les villages français, c’est rien des beaufs prêts à lui cracher à la gueule !!! si ça, ce n’est pas des préjugés voire du racisme, j’y comprends que dalle
Les syndicats réclament des mesures de soutien à la consommation dans le plan de relance gouvernemental, axé jusque-là sur des aides publiques à l’investissement. Anticipant le « sommet social » du 18 février proposé la semaine dernière par Nicolas Sarkozy, ils souhaitent maintenir la pression et la motivation des salariés pour changer la donne.
Mais que font donc les gentils syndicats pour tous ces gens qui font la manche ? car après tout un bon nombre ces sans-domicile sont d’anciens travailleurs !!! ET, si parmi ces miséreux, il y avait d’anciens salariés ou permanents syndicaux ? Pourquoi personne ne pose cette question aux responsables syndicaux ?