« Lorsqu’une pensée s’offre à nous comme une profonde découverte et que nous prenons la peine de la développer, nous trouvons souvent que c’est une vérité qui court les rues. » Vauvenargues
ceci dit, comme quelques-uns, ne voulant faire allégeance à aucun mouvement politique ayant tendance à faire des alliances douteuses, je me sens un peu isolée ;
ah ! enfin je ne suis pas seule salut Pierre Régnier
ceci dit, comme quelques-uns, ne voulant faire allégeance à aucun mouvement politique voulant tendance à faire des alliances douteuses, je me sens un peu isolée ; les forces contre les méfaits du capitalisme (certains disent libéralisme) s’éparpillent dans tous les sens ; par exemple. je n’arrive absolument plus à comprendre les militants du Npa (j’en connais quelques-uns, en ce qui concerne les militants socialistes c’est le divorce net.
Hugo Rafael Chávez est président du Venezuala depuis le 2 février 1999, et un ancien militaire vénézuélien.
- deux douzaines de personnesde la famille Hugo Chávez occupent des postes politiques d’envergure régionale ou nationale
- la présidente du parlement a autorisé la nomination à des postes législatifs de 40 parents ou amis de Hugo Chávez
- fin mai 2007, Asdrubal Chávez, un cousin de Hugo Chávez a été promu vice-président de l’entreprise publique Petroleos de Venezuela (PDVSA).
- le frère aîné de Hugo Chávez , Adrian Chávez, a été nommé ministre de l’éducation - Hugo de los Reyes Chávez, le pèrede Hugo Chávez , gouverneur élu de l’État de Barinas, a nommé son fils Argenis Chávez comme secrétaire d’État.
- Parmi les autres membres de la famille, Anibal Chávez a été élu maire de Sabaneta de Barinas et Narciso Chávez brigue la mairie de Bolivar
Le despotisme donc, s’il entend bien ses intérêts, n’encouragera pas les lettres, car les lettres mènent à penser, et la pensée juge le despotisme. (...) il n’y a que deux genres d’auxiliaires pour l’autorité absolue, ce sont les prêtres ou les soldats. Mais n’y a-t-il pas, dit-on, des despotismes éclairés, des despotismes modérés ? Toutes ces épithètes, avec lesquelles on se flatte de faire illusion sur le mot auquel on les adjoint, ne peuvent donner le change aux hommes de bon sens. Staël, Considérations sur les princ. événements de la Révolution fr., t. 2, 1817, p. 424