Ah oui, d’autres personnes m’en parlent également : préférer un système [-5 ;+5] plutôt qu’un système [0 ; +10]. Bon, alors là, franchement je ne sais pas quoi répondre ! D’autant que dans les systèmes de monnaie libre qui viennent, ce n’est jamais qu’un mode d’affichage au niveau des terminaux (PC, portable, ...).
Attention : du mode d’émission (cause) dépend l’effet « réserve de valeur » (conséquence) de la monnaie. En effet, émettre de la monnaie selon le Dividende Universel empêche mécaniquement la monnaie d’obtenir le rôle de réserve perpétuelle de valeur. Or il me semble que c’est cela que vous pointez dans votre réponse.
Donc, c’est bien le mode d’émission monétaire qui est le problème, en tant que cause profonde des effets qu’elle engendre.
Refuser l’Euro, refuser la monnaie-crédit. OUI. Mais pour quelle(s) alternative(s) ?
C’est là que la bât blesse. Certains diront que la monnaie en elle-même est un problème. Je n’adhère pas à cela, bien au contraire : seul son mode d’émission l’est.
Il existe bien les monnaies complémentaires, mais celles basées sur l’Euro appliquent finalement les mêmes causes et engendrent donc les mêmes conséquences. De mon point de vue, seules les Monnaies Libres (donc, créant la monnaie sur la base du Dividende Universel) sont en mesure de répondre équitablement à nos besoins en monnaie, et aujourd’hui seuls les SEL peuvent potentiellement répondre techniquement à cette possibilité, avec leur contrainte de limitation géographique.
Un peu d’optimisme toutefois : de nouveaux systèmes monétaires informatiques sont en train de naître, permettant à tout un chacun de créer sa Monnaie Libre. Les lignes vont donc probablement bouger dans les années à venir !
Vous êtes méprisant. Relisez-vous : vous avez pratiqué 1) avant même qu’on ne vous réponde, puis vous tentez de me renvoyer la faute. Balayez donc devant votre porte : vous êtes le plus gros des manipulateurs.
Et je ne vous parle pas de plaire ou non : simplement de respecter votre interlocuteur, ce que vous êtes manifestement incapable de faire.
« il est décrit ci dessus. Vous ne savez pas lire ? »
C’était une question rhétorique, visant à vous faire prendre conscience qu’en arrivant et en rabaissant les gens - voire en les insultant -, mieux vaut pouvoir se le permettre. En d’autres termes : un peu d’humilité vous ferait beaucoup de bien, d’autant qu’en braquant vos interlocuteurs, vous n’êtes plus dans l’argumentation mais dans la lutte. De fait, soit vous êtes très maladroit et vous feriez bien de changer d’attitude, soit vous n’êtes pas là pour argumenter et alors vous nous faites tous perdre notre temps, dont le vôtre.
« Rapport avec la choucroute ? »
Vous voyez, je crois que même si vous vous plantez complètement, vous provoquez chez les autres une telle réaction épidermique qu’on ne prend même plus la peine de contre-argumenter.
Je ne sais pas quel est votre but, mais il est certain que si c’est celui que vous prétendez servir, vous en êtes un piètre défenseur.