Je n’ai pas bien compris votre introduction, vous suggerreriez que les frontières issues de la colonisation seraient illégitimes et injustes ? Si dans l’Afrique devait remettre en cause ces frontières les guerres n’en finiraient plus pour au moins un millénaire. Vous prenez un très mauvais exemple : la monarchie marocaine qui prétend que partout ou un de ses émirs auraient séjourné ( ne serait ce que pour faire caca) appartiendrait au royaume ; résultat le Sénégal, la Mauritanie, la Sahara occidental, une partie de l’Algérie et de l’Espagne seraient des territoires injustement confisqué au royaume. Je vous rappelle que toute nos frontières en Europe sont usurpée, arbitraires et sont le résultat de guerres qui ne prenait en aucun cas compte des particularités ethniques, religieuses et linguistiques des populations locales...
(On peut tout dire du Maroc sauf qu’il n’était pas sage, on aurait bien voulu avoir des dirigeants africains aussi « conciliants », pour ne pas employer un autre adjectif.)
« Je suggère d’interdire aussi la presse. Les meurtres de masse sont le fait de l’imitation et s’appuient sur la perspective pour l’auteur du massacre de devenir célèbre. La presse est donc directement responsable de ce que ces massacres se répètent. »
Justement il serait très intéressant de savoir si dans le passage à l’acte du criminel, l’espoir d’etre médiatisé à outrance, même post-mortem, n’a pas une place prépondérante.