« Parler de race blanche (non hispanique) est probablement provocateur sauf pour dénoncer ses méfaits. »
Evidemment. Vous voyez pas qu’on se mette à parler de Shakespeare et de Goethe, de Rembrandt et de Rubens, de Palladio et de Michel-Ange, de Mozart et de Beethoven, de Pascal et de Lavoisier, d’Euler et de Tesla, ça, ça la foutrait vraiment mal...
1. Papous de Nouvelle-Guinée et Aborigènes
d’Australie ; 2. Habitants des îles du Pacifique (Polynésiens, Canaques de
Nouvelle-Calédonie, etc.) ; 3. Habitants du Sud-Est asiatique (Khmers,
Thailandais, Indonésiens, Malais, Philippins…) ; 4. Asiatiques du Nord
(Mongols, Tibétains, Coréens, Japonais, Chinois du Nord) ; 5. Peuples de
l’Arctique ; 6. Indiens d’Amérique (du Nord, centrale et du Sud) ; 7. Européens
blancs (caucasoïdes) ; 8. Caucasoïdes non-européens (Nord-Africains, habitants
du Proche-Orient, Iraniens, Indiens, Pakistanais, etc.) ; 9. Africains.
Comme il est antiraciste, il parle de « clusters », (groupes en anglais) - c’est-y pas plus politiquement correct ? -, et ramener tout ça à une histoire de vitamine D, ça peut passer au bar des Sports, au Café du Commerce et dans les classes de 6e, mais guère au-delà.
« La vraie frontière, immuable et de tous temps, passe entre les dominants et les dominés, les exploiteurs et les exploités. »
Oui, mais ça, le collectivisme ne peut rien y changer. Le clivage dominant-dominé ressortit à la nature humaine. Il commence dès que deux individus sont associés en vue d’un objectif commun (mariage, boulot, activités de loisirs, etc.). Et c’est de la « légèreté » de la main du dominant, qui suggère plutôt qu’il n’impose, que naît l’harmonie.
« Premièrement il s’agit d’une fausse religion... »
On peut dire cela dans la mesure où c’est un système religieux, politique, juridique et social, qui encadre la vie du fidèle de son réveil à sen endormissement.
Mais on pourrait dire aussi que par son totalitarisme rigide, par son omniprésence dans la vie quotidienne (invocations), et par son ancrage dans des textes intangibles, vieux de plus de treize siècles selon la croyance, c’est la seule vraie religion