D’accord avec vous, simplement il faut bien garder à l’esprit que Monsanto comme Syngenta ne sont que des (petites) filiales appartenant ou émanant des géants pharmaceutiques. Le capital de Syngenta est détenu à 65 % par Novartis et 35 par Astra-Zeneca. Monsanto appartenait jusqu’au début des annèes 2000 à Pharmacia inc. Et ne représentait alors qu’environ 10% de la capitalisation boursière de la firme et 3,5 du CA. Pharmacia inc. à depuis été racheté par Pfizer et ne représente qu’une faible part du leader mondial de la phamarcie (env. 15% de mémoire).
Il en va de même pour la quasi totalité des multis agrochimique, toutes sont ou/et ont été sous la coupe d’un grand Pharma ou d’un grand Chimique. (Aventis Cropscience racheté par Bayer, Monsanto en partie par Basf et Dow & Dupont de Nemours lors de a session par Pharmacia...)
Chimistes qu’ils ne faut pas oubliés non plus, si un groupe comme BASF a vendu sa division pharmacie il reste leader mondial des édulcorants alimentaires et investi massivement dans la biotechnologie.
A tout ceux qui veulent approfondir le sujet, je ne saurais que trop conseiller un petit tour sur les site du Formindep et de Prescrire. (ainsi que Pharmacritique pour les énervés et la Collaboration Cochrane pour les anglophiles)
Art. 2. Les citoyens d’un même état ou profession, les entrepreneurs, ceux qui ont boutique ouverte, les ouvriers et compagnons d’un art quelconque ne pourront, lorsqu’ils se trouveront ensemble, se nommer ni président, ni secrétaires, ni syndics, tenir des registres, prendre des arrêtés ou délibérations, former des règlements sur leurs prétendus intérêts communs.
Art. 4. Si, contre les principes de la liberté et de la constitution, des citoyens attachés aux mêmes professions, arts et métiers, prenaient des délibérations, ou faisaient entre eux des conventions tendant à n’accorder qu’à un prix déterminé le secours de leur industrie ou de leurs travaux, lesdites délibérations et conventions, accompagnées ou non du serment, sont déclarées inconstitutionnelles, attentatoires à la liberté et à la déclaration des droits de l’homme, et de nul effet ; les corps administratifs et municipaux seront tenus de les déclarer telles. Les auteurs, chefs etinstigateurs, qui les auront provoquées, rédigées ou présidées, seront cités devant le tribunal de police, à la requête du procureur de la commune, condamnés chacun en cinq cent livres d’amende, et suspendus pendant un an de l’exercice de tous droits de citoyen actif, et de l’entrée dans toutes les assemblées primaires.
Art. 8. Tous attroupements composés d’artisans, ouvriers, compagnons, journaliers, ou excités par eux contre le libre exercice de l’industrie et du travail appartenant atoutes sortes de personnes, et sous toute espèce de conditions convenues de gré à gré, ou contre l’action de la police et l’exécution des jugements rendus en cette matière, ainsi que contre les enchères et adjudications publiques de diverses entreprises, seront tenus pour attroupements séditieux, et, comme tels, ils seront dissipés par les dépositaires de la force publique, sur les réquisitions légales qui leur en seront faites, et punis selon tout la rigueur des lois sur les auteurs, instigateurs et chefs desdits attroupement, et sur tous ceux qui auront commis des voies de fait et des actes de violence.