Malgré un style qu’on peut ne pas aimer, je suis tout à fait d’accord avec l’auteur, qui clairement a une certaine connaissance de cette région.
Sur Uribe d’abord qui, avec le soutien des colombiens, essaye de libérer son pays de la menace constante des Farcs qui avaient peut etre une idéologie il y a 40 ans, mais ne sont aujourd’hui qu’un groupe d’assassins et de narcos.
Sur Chavez ensuite dont le seul intérêt est de propulser son image personnelle et de dominer non seulement le Venezuela, mais si possible toute l’Amérique Latine. Son appui aux pauvres n’est qu’un leurre, que seuls quelques européens, trompés par une bonne stratégie de communication, croient encore.
Sur Sarkozy enfin, qui pour des raisons qui m’échappent, croit à la bonne volonté de Chavez, alors que celui-ci le trompe comme les autres et voit dans Sarkozy la possibilité de légitimer indirectement son expansion latino-américaine.