@Goldored Ou voyez vous une classification ? Des noirs africains seront toujours plus rapide en course à pied. Il n’y aura jamais de noir africain champion de natation Les asiatiques seront bourrés plus vite que les caucasiens Les sherpas portent des dizaines de kilogs au dessus de 5000m d’altitude
Mais les SNIP nous disent qu’il n’y a aucune différence génétique entre les homo sapiens
@Baobab Il n’y a pas plus raciste que les noirs africains : Tutsi et Hutu, ça vous rappelle quelque chose ? Les Séréres méprisent les Diolla, qui méprisent les Peuls, qui méprisent Mandingues, et tous haïssent les métis. Tous les descendants d’esclave des Antilles et d’Amérique du Nord, quand ils retournent visiter leur continent d’origine, sont effarés par les conditions de vie des Africains, et pour rien au monde ne retourneraient vivre dans ces conditions. Bien sur, ce sera facile de dire que c’est la faute de la colonisation qui a tracé des frontières arbitraires, déstabilisé des équilibres tribaux, construit des routes des chemins de fer, des hopitaux, des écoles. Un vieil Africain a dit un jour, « c’est bien l’indépendance, mais quand est ce que ça s’arréte ? » C’est vrai, on aurait du laisser les africains reguler leur population par les seuls moyens qu’ils connaissaient : la guerre, l’esclavage, les famines et les épidémies. L’Afrique n’a jamais découvert la révolution agricole du néolithique, la traction animale, la roue. La solution pour l’Afrique c’est qu’il n’y ait plus un blanc sur le continent. Des comptoirs d’échange autour, et on verra ce qu’ils arrivent à valoriser de leur continent si riche ! Pourquoi n’y a t’il pas de centrale nucléaire en Afrique ?
@Ouam Tout à fait d’accord. Certains sont bien intégrés, pas de problème avec eux. Mais toute la racaille des cités, dehors. Au moindre passage devant le juge, dehors. Ceux qui vivent des allocations familiales, dehors. Ceux qui crachent sur la France comme les Conrads, Traoré, Sibeth, dehors.
La solution qui permettra d’éliminer les zones de non-droit, de trafic de drogue, mais aussi d’équilibrer les comptes de la sécu, de l’assistance sociale et des retraites, c’est le retour vers leur pays d’origine des envahisseurs maghrébins et noirs africains de première, deuxième et troisième générations.
Les Algériens ont réussi à expulser sans indemnisation les pieds noirs implantés depuis 5 générations, je ne vois pas pourquoi on ne serait pas capable de faire moins !
Tout autre discours est une masse de perturbation, qui finira par des affrontements violents.
Dans la discipline de biologie qui
s’appelle phylogènie, les scientifiques, depuis Linné (1758), essayent
de décrire et déterminer la parenté des êtres vivants. Sur des critères
morphologiques (l’apparence visuelle, parfois très poussée), les
naturalistes classent les êtres vivants en parentèles. Cela aboutit par
exemple à cette classification du lion :
En dessous du genre, l’espèce, dans le cas du lion, l’espèce Panthera
leo. Séparée des autres espèces Panthera, comme le tigre, Panthera
tigris.
La distinction entre espèces d’un même genre repose normalement sur
l’interfécondité. Normalement, deux espèces ne peuvent pas se croiser,
c’est à dire qu’un lion ne peut pas féconder une tigresse. Dans le cas
du lion et du tigre, les croisements sont possibles, ce qui signifie que
la distinction d’espèce, basée sur des critères morphologiques,
comportementales (culturels si on veut, les lions sont grégaires, les
tigres sont solitaires) et géographiques (lion en Afrique, tigre en
Asie) ne sont pas imperméables. Il y donc des exeptions mais en général,
deux espèces différentes d’un même genre, comme le Merle (Turdus
merula) et la Grive (Turdus philomelos) ne peuvent se reproduire bien
que partageant le même habitat.
Les cas du chien, du chat, des bovins et de toutes les espèces
domestiquées est intéressant. Tous les chiens font partie du genre
Canis, espece lupus, qui englobe aussi le loup, qui serait leur ancètre.
Un loup peut saillir un dogue et avoir une descendance, un chiuaha peut
essayer de saillir un beauceron et engendrer une descendance, tous les
chiens, du caniche au malamut, au yorkshire font partie de la même
espèce, Canis lupus. Pourtant, ils ont des caractéristiques physiques et
comportementales différentes : il y a des chien de compagnie, de
berger, de garde, de chasse… Ils ont des caractéristiques physiques, et
des lignées génétiques qui font qu’un shitzu sera naturellement docile,
calin et fera un chien d’appartement et de compagnie parfait, un
terre-neuve ne pourra pas s’empêcher de sortir de l’eau toute être
humain qu’il voit immergé en piscine, lac ou mer.
Il y a une seule espèce de chien domestique, il y a beaucoup de races.
L’Être humain, dans la classification biologique, s’appelle Homo
Sapiens. Genre Homo, espèce sapiens. Il n’y a qu’une espèce d’humain sur
terre, le sapiens. D’ailleurs, tous les sapiens sont inter fécondables,
un français peut avoir des enfants avec un aborigène, un inuit peut
avoir des enfants avec une bochimen. Mais il existe des différences
physiques et culturelles. Les noirs africains ne serons jamais champions
de natation, leur densité osseuse est trop élevée pour pouvoir flotter
facilement, par contre, certains noirs africains du plateau kenyan et
éthiopien ont un os du talon très légèrement plus long que la normale,
ce qu’il fait d’eux des champions imbattables en course à pied et en
sprint. Les sherpas Thibetains ont une capacité d’oxygénation du sang
qui leur permet de vivre et de travailler à plus de 5000 metres
d’altitude. Les asiatiques et les amérindiens ont génétiquement un
déficit d’une enzyme métabolisant l’ethanol, ils réagissent plus
rapidement à l’alcool que les européens. Il y a des différences
physiques visuelles, il y a des différences génétiques, ou épigénétiques
exprimées.
De même que pour les espèces domestiques, chez l’être humain, il n’y a
biologiquement qu’une seule espèce (interfécondité) mais il y a
plusieurs races (caractéristiques physiques et culturelles).
Certains ont cherché à faire des classements, c’est stupide, les
races humaines existent et sont d’une diversité extraordinaire, fruit de
l’histoire, des terroirs, et de la culture. Nier les races humaines,
c’est du négationisme
Pour ma part, les africains en afrique, les maghrébins au maghreb, chacun est bien chez soit et les communications peuvent être interessantes