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Charles André

Charles André

Révolté, modéré, croyant à la nécessité de l’Etat et de l’action publique pour une société nécessairement solidaire, je ne supporte pas la passivité et l’infantilisation ; je ne supporte pas d’entendre "les gens" se plaindre sans rien faire pour changer leur destinée ; je ne supporte pas qu’on puisse se laisser faire sagement par une classe politique cynique, souvent médiocre et vivant dans un autre temps. Je ne supporte plus d’avoir un Etat acteur de son impuissance. Je ne supporte plus de vivre dans une société féodale où les positions sont héritées et figées.
Mais je supporte le PSG. Dur.
Je veux croire que nous pouvons changer les choses ; ne serait-ce qu’en montrant que nous ne nous laissons plus faire, plus avoir par les discours lénifiants, les symboles à 2 euros, le "cours des choses" présenté comme une fatalité. Je veux que les Français arrêtent de se plaindre et rester chez eux ou voter "non", qu’ils se retroussent les manches pour construire une société vivante, fluide, créative.
Notre génération a un grand rôle à jouer. Désidéologisés, nous jugeons sur pièces. Nous voulons des actes. Nous pouvons interpeller les "responsables" sur leurs mensonges, leur inaction, leurs contradictions et leurs compromissions... mais nous devons aussi faire émerger un nouveau souffle et donner envie de demain.
Jusqu’ici, tout va bien, mais demain est proche où l’atterrissage sera fracassant si nous laissons passivement faire.
Avec les blanquistes de Tout Va Bien, j’espère que nous participerons à remuer la France.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/10/2006
  • Modérateur depuis le 29/11/2006
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Derniers commentaires



  • Charles André Charles André 7 novembre 2006 11:37

    L’auteur a choisi un angle : la méthode préconisée par le rapport pour réformer l’Université. Il ne prétend pas faire une synthèse du rapport, que tout le monde peut lire et dont la presse a largement fait état.

    Vous avez un problème avec les réformes qui cherchent à être menées de concert avec les intéressés ? Vous préférez qu’elles soient imposées ?

    Je comprends que vous soyez choqué par l’ultralibéralisme d’une proposition du rapport visant à aider les étudiants dans leur orientation...



  • Charles André carolus 7 novembre 2006 11:36

    L’auteur a choisi un angle : la méthode préconisée par le rapport pour réformer l’Université. Il ne prétend pas faire une synthèse du rapport, que tout le monde peut lire et dont la presse a largement fait état.

    Vous avez un problème avec les réformes qui cherchent à être menées de concert avec les intéressés ? Vous préférez qu’elles soient imposées ?

    Je comprends que vous soyez choqué par l’ultralibéralisme d’une proposition du rapport visant à aider les étudiants dans leur orientation...

    Je serais curieux de savoir quelle position sociale vous occupez.



  • Charles André Charles André 6 novembre 2006 13:01

    Je mettais en avant la dette comme indicateur de mauvaise gestione, absolument pas pour culpabiliser qui que ce soit.

    J’ai moins de 30 ans et je ne veux pas qu’on continue à affaiblir l’Etat en le gérant de manière irresponsable.

    Si pointer du doigt un problème douloureux revient à méchamment « culpabiliser », on oublie les campagnes pré-électorales et on élit le meilleur Bisounours !



  • Charles André Charles André 3 novembre 2006 11:50

    Merci de souligner que l’Europe fait aussi, même en ces temps obscurs, de bonnes choses !

    D’ailleurs, j’ai hâte que la réforme de la PAC prenne toute son ampleur : une Europe agricole toute entière tournée vers la qualité, voire le bio, il y a là un sacré avantage comparatif à faire valoir...



  • Charles André carolus 31 octobre 2006 17:08

    A qui profite l’immobilisme ? Aux acteurs du système actuel...

    Et puis associer (plus que « faire appliquer ») les intéressés aux changements (méthode basique de management), c’est prendre le risque la mise en oeuvre évolue par rapport au beau plan théorique qu’on s’était forgé...

    On se méfie du « peuple » comme de la peste. A-t-on pourtant jamais ne serait-ce que tenté de réellement le responsabiliser dans la conduite des changements annoncés comme inéluctables ?

    Si on dit à l’avance : « c’est comme ça parce qu’on/la mondialisation l’a décidé », « les gens » diront : NON, NON et NON ! En revanche, si on dit : voilà l’obectif que nous voulons poursuivre et pour l’accomplissement duquel vous m’avez mandaté (il faut néanmoins que le mandat soit clair...donc que le responsable politique n’ait pas avancé masqué lors de la campagne), aidez moi à ce que sa réalisation satisfasse tout le monde, on reçoit des trésors d’intelligence. J’ai beaucoup parlé à ce sujet avec des chefs d’entreprises, observé bon nombre de comités d’entreprises et autres instances de concertation : lorsqu’on responsabilise les gens, donc qu’on accepte de n’être ni omniscient ni omnipotent, on reçoit d’agréables surprises...

    Bravo à la commission, espérons que les politiques et présidents de facs sauront en respecter l’esprit.

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