Les termes de la trêve incluent notamment l’arrêt de toute opération militaire et prévoit l’ouverture de discussions entre les deux parties 24 heures après son entrée en vigueur.
En huit jours de bombardements, 155 Palestiniens ont été tués dans les frappes aériennes israéliennes, et cinq Israéliens, dont un soldat, ont été victimes de tirs de roquettes dans le sud d’Israël.
Par ailleurs, l’armée israélienne a annoncé jeudi avoir arrêté 55 militants palestiniens en Cisjordanie pour « activités terroristes et violentes ».
« Au total, 55 terroristes, affiliés à différents groupes terroristes, ont été arrêtés. Parmi eux se trouvent un certain nombre de hauts responsables » de groupes palestiniens, a indiqué l’armée, par voie de communiqué.
Les arrestations constituent une « tentative de restaurer le calme dans la région », a ajouté l’armée israélienne.
Par ailleurs, M. Mechaal a remercié l’Iran pour avoir armé et financé les groupes palestiniens dans la bande de Gaza, et ce malgré leurs divergences au sujet de la crise syrienne.
Lors de la conférence de presse confirmant l’entrée en vigueur de la trêve, le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a indiqué qu’ « Israël ne peut pas regarder passivement ses ennemis se doter d’armes de terreur ».
C’est difficile de répondre, mais certains craignent en effet que le conflit s’étende, dans une région particulièrement instable, plus encore avec le conflit syrien.
L’armée israélienne a également posté sur Twitter une photo du chef militaire du Hamas abattu, Ahmed al Djaafari, avec la mention « éliminé » barrant son visage.