L’énorme problème, dans toute cette histoire, c’est que le soulèvement, la fraternité, l’élan héroïque du peuple ne se fait que sur les cendres et le sang. Le système, tel que nous le connaissons depuis l’après guerre se meure, mais nous le voyons bien, tout va être fait pour tenter de le sauver car par habitude, paresse, égoïsme nous ne sommes pas en mesure d’en inventer un autre. Les élites ont trop à perdre a tenter de le changer, et nous, le peuple, nous ne pourrons nous soulever que lorsque nous aurons faim. Ceci nous prépare à vivre des jours noirs. Le système, avant de mourir, verra les tensions sociales provoquer des émeutes, ces émeutes vont effrayer le peuple, qui nommera des dirigeants autoritaires, ce qui inévitablement verra les nations se replier sur elles-mêmes à la recherche de boucs émissaires, vous connaissez la suite. Le danger nationaliste et fasciste le plus à craindre est américain.
@Deneb Mais on touche à la guerre de religion ! Un peu de calme, accuser Apple d’avoir une part de responsabilité dans les volontés liberticides des gouvernements, est un raccourci douteux. Certes, la mode bobo qui élève au pinacles le Mac tout puissant aux vertus « humaines » les plus généreuses dont seraient dépourvues Microsoft est tout aussi idiot, mais si Mac (plate-forme sur laquelle je travaille depuis 20 ans, Graphiste oblige) offre depuis tout temps une interface et une stabilité derrière lesquelles Windows court depuis l’Apple II, c’est outre une certaine approche de l’informatique grand public, le fait que ses développeurs n’ont à créer un OS que pour un type de machine, le Mac, là ou, les ingénieurs de Microsoft doivent penser un OS pour une multitude de machine, de matériel, de cartes mère de toutes marque. mac pense 1 OS = 1 machine, Windows 1 OS = tout ordinateur dans le monde. Forcément, les compromis ne sont plus les mêmes et Mac à beau jeu de dire que son système est plus stable (ce qui reste vrai) puisqu’ils n’ont pas à se soucier du bon fonctionnement de leur système sur des machines exotiques. La force de Windows et son universalité, quelque soit sa machine, quelle que soit le soft ça tourne, mais avec un compromis de stabilité. Quant à l’ergonomie, il est entendu que Mac a toujours été précurseur, ne pas le reconnaître c’est faire preuve au mieux d’une ignorance incrédule au pire d’une mauvaise foi de chapelle. Maintenant, le Mac n’est qu’une machine, et vouloir en faire un objet de culte est aussi sot que d’accuser Apple d’avoir une orientation « politique », Apple comme Microsoft, n’a qu’une orientation, celle de vendre le plus possible de machine et de système leurs garantissant un maximum de revenu, et à ce petit jeu, depuis quelques années Apple à marqué des points (et pas forcément pour le bien de ses utilisateurs).