@JL1 : vos propos péremptoires ne me feront pas démordre que la défense de la liberté d’expression, et le rejet de lois de type Gayssot cher à Chomsky, sont parfaitement compatibles avec la ligne politique de Mme LE PEN.
Ne soyez pas si buté vous n’allez nulle part.
On peut aimer Chomsky et vouloir défendre sa patrie et sa liberté de parole ! je constate simplement que l’UMPS n’a pas l’habitude de se voir disputer les principes fondamentaux : laicité, liberté d’expression, préférence nationale (défendue par Blum, socialiste ! vous voyez tout ne rentre pas toujours dans une petite case ne vous en déplaise).
@JL1 : oh oui j’ai lu Chomsky. Imbécile, pour qui vous prenez vous ? Vous avez la science infuse et êtes le seul à étayer vos connaissances ?
Je sais très bien que Chomsky ne pourrait rallier le FN. Je le lis régulièrement en anglais sur son site Chomsky infos.Ce que j’apprécie chez lui c’est tout simplement sa défense de liberté d’expression, il a évoqué les méfaits de la loi Gayssot entre autres, et je respecte ses idées pour cela.
Vous par contre, vous avez un discours à la papa, des complexes ?
Ce Chomsky qui écrit en gras comme vous dîtes a failli voter UMP mais face à de tels escrocs qui se disent chasseurs d’insécurité et qui une fois au pouvoir ne font rien et vous disent tout faire pour lutter contre l’islamophobie et l’antisémitisme (mais zéro initiative pour protéger son peuple), je sens le double discours électoraliste qui ne m’y trompera plus. Je voterai donc FN en 2012.
Et au vu du rejet des français pour l’UMP et de la débâcle des primaires socialistes, je vois Mme Le Pen grande gagnante de la présidentielle.
Les électeurs ont vu ce que çà donnait le FN aux commandes d’une ville, contrairement à ce que vous affirmez ils ne sont prêts de vous laisser les clés de la maison France"
Je rectifie : les électeurs ont vu ce que ça donnait l’UMPS aux commandes du pays, et contrairement à ce que vous affirmez ils ne sont pas prêts de leur redonner les clefs de la maison France.
Ne comparons pas les erreurs de gestion locale avec les erreurs de gestion de toute l’économie française, plombée par une dette colossale de 1680 milliards d’euros, en y rajoutant le chômage, les délocalisations, le pouvoir d’achat, l’ultra-libéralisme, la chute de croissance, la désindustrialisation, etc etc.