La source c’est l’Express.
Pour le moment pas de réaction en France (un peu sur le net) sur cette
déclaration d’Olivier Sarko qui dirige une filiale de Carlyle, alors
qu’elle fait bondir des blogueurs au Canada ! (ailleurs aussi
peut-être...).
Parmi les phrases édifiantes du Monarque, celle-ci devrait lui être rabâchée à l’envi :
« Il ne faut pas être
candidat à la présidence de la République française si l’on ne veut rien
donner de soi-même, si l’on ne veut rien sacrifier, si l’on ne cherche
que son bonheur et la réussite sociale. Il ne faut pas être candidat à
la présidence de la République si l’on n’est pas prêt à s’imposer
davantage de devoirs que les autres. Parce qu’un président de la
République c’est quelqu’un qui n’a pas plus de droits, plus de
privilèges et moins de devoirs. Mais quelqu’un qui au contraire a moins
de droits, moins de privilèges que quiconque et plus de devoirs. Il ne
faut pas être candidat à la présidence de la République si l’on ne se
sent pas capable de donner l’exemple et de s’imposer à soi-même les
sacrifices que l’on demande aux autres. » Nicolas Sarkozy
Petite parenthèse, cette info reprise par un blogueur québecois (Marc Lafontan) datée du 23/11 :
La source c’est l’Express. Pour le moment pas de réaction en France (un peu sur le net) sur cette déclaration d’Olivier Sarko qui dirige une filiale de Carlyle, alors qu’elle fait bondir des blogueurs au Canada ! (ailleurs aussi peut-être...).
Merci à la presse non-officielle et aux blogueurs étrangers...
Qu’on ne s’y trompe pas, ça fait bien longtemps que je ne me prête plus au vote... par défaut. Je ne diabolise pas la démarche de Philippe Martin elle aurait même pu me séduire, je m’autorise seulement à suspecter son existence...
« Nous consentons haut et fort en glissant le bulletin de vote dans l’urne, et par ce seul geste nous avalisons tacitement le système, ses méthodes et ses dirigeants. Par notre silence et notre acceptation nous leur accordons toute la latitude et nous leur procurons les outils nécessaires à gagner leur paradis... à même la sueur de notre front. » (de la plume agile de mon ami Pierre du Québec)