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Christian Chavrier

Christian Chavrier

Président du Parti Fédéraliste
Président du club "Besoin d’Europe !"
A 41 ans, ce Provençal très attaché à sa région est marié, papa d’un petit Théo et réside dans le Vaucluse. Il exerce le métier de consultant et expert, spécialiste du tourisme.
Séduit par de nombreux engagements comme l’exercice de la citoyenneté, la construction européenne, la solidarité, la maîtrise de la mondialisation, il fonde deux associations a vocation sociale. Il est par ailleurs administrateur et soutien des associations à vocation humanitaire et sportive. Il est le président fondateur du Club « Besoin d’Europe ! ». Portrait.
Autodidacte, de culture provençale, Christian Chavrier après un parcours sportif devient commissaire de bord sur des paquebots et dirigera des équipages de plusieurs centaines de personnes, de plus de 25 nationalités pendant plusieurs années. Il en retirera une connaissance approfondie des relations humaines et conjuguera toujours pragmatisme avec altruisme, dans le respect des valeurs humaines fondamentales. Réussite professionnelle.
Concepteur d’une nouvelle formule de villages de vacances et fin diplomate dans la négociation de "dossiers chauds", il a travaillé notamment auprès de Jacques Maillot (Nouvelles Frontières), œuvrant à la démocratisation de la croisière auprès des Français.
Spécialiste reconnu de l’industrie touristique, il est aujourd’hui consultant et expert. Dans ce cadre, il défend avec passion l’idée de la responsabilité majeure de cette industrie dans les enjeux sociaux, économiques, sociétaux, stratégiques et environnementaux. Il œuvre pour qu’elle prenne toute sa part dans le dialogue mondial des cultures, pour le développement durable et maîtrisé de nombreuses parties du monde, tout autant que sur le territoire national. L’engagement politique.
Grâce à sa vie professionnelle il sillonne la planète depuis 20 ans. C’est comme cela qu’il a forgé une très solide conscience politique.
Il met ses qualités, ses idées et ses compétences au service de ses concitoyens. Son credo : humanisme, respect des identités, des libertés et "du vivre ensemble", Droits de l’homme, mais aussi devoirs de l’homme envers ses semblables et la planète. Il s’est toujours senti "euro-citoyen du monde", que ce soit en France ou à l’étranger.
"Il faut écouter, convaincre, souvent s’opposer mais toujours proposer."
Cet engagement, il le concrétise en politique, même s’il revendique : "être ni coopté, héritier ou énarque, ". « Je le fais car je suis libre, honoré de servir mes semblables et la collectivité », confie-t-il au Président de son comité de soutien : le journaliste Antoine Sfeir.
Il combat avec force les partis, situés aux extrêmes qu’il estime les uns obscènes, les autres simplistes et dans tous les cas tournés vers le passé.
Il croit profondément aux principes du fédéralisme, non de manière dogmatique mais de façon pragmatique, comme étant le seul outil efficace au service de nos régions, de la France et de l’Europe.
Engagement traduit par une phrase qui résume tout son engagement : « Pour une France fédérale dans une Europe qui sera fédérale ou ne sera pas » !
Comme beaucoup de Français, Christian Chavrier ne se reconnaît pas dans l’offre des principaux partis et est d’ailleurs régulièrement courtisé par nombre d’entre eux. C’est pour être en accord avec ses convictions et sa volonté d’indépendance, qu’il a choisi de rejoindre le Parti Fédéraliste.
Tête de liste des Fédéralistes d’Ile de France aux dernières élections régionales (2,91%, presque 15 000 voix), Christian Chavrier et la nouvelle équipe dirigeante du Parti Fédéraliste, poursuivent le travail engagé avec d’autres formations politiques et ce dans la perspective des prochaines échéances électorales.
Le nouveau président du Parti Fédéraliste, élu le 8 octobre 2005 à cette fonction, et investi par les militants comme candidat du PF à l’élection présidentielle le 11 février 2006 a rappelé ses objectifs fondamentaux : une France fédérale dans une Europe fédérale ; le renouveau démocratique, respectueux du principe de subsidiarité ; l’équilibre entre l’exigence de justice sociale et le désir de liberté, plaçant enfin l’homme et son environnement au centre des enjeux politiques. À l’éternelle question du positionnement politique, Christian Chavrier est souvent qualifié de "centriste indépendant". Il préfère se définir au travers de cette formule : « ni à droite, ni à gauche : devant ! »

Tableau de bord

  • Premier article le 10/07/2006
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Derniers commentaires



  • Christian Chavrier Christian Chavrier 11 juillet 2006 14:18

    Bonjour Stéphane,

    En matière de politique étrangère l’Europe sera en capacité de parler d’une seule voix à la condition d’avoir une existence politique. Dans ces conditions ce n’est pas un fonctionnaire mais le ministre d’un véritable gouvernement européen, selon un véritable régime parlementaire représentant fidèlement les aspirations des peuples européens. Il ne faut pas craindre que les intérêts spcifiques de tel ou tel Etat ne soit pas ou mal défendu puisque le principe de subsidiarité s’applique. L’idée de l’Union regroupant les pays de la zone euro et de l’espace shengen permet de soutenir naturellement une politique monétaire et économique tout autant que de politique étrangère ou d’immigration par exemple. Cette Union serait un premier cercle au sein de la communauté européenne telle qu’elle existe aujourd’hui.



  • Christian Chavrier Christian Chavrier 11 juillet 2006 13:25

    Bonjour,

    Nous parlons ici d’une Union Fédérale dotée d’un régime parlementaire contrôlant l’executif, organisée selon le principe de subsidiarité. Quant au niveau national les fédéralistes sont évidemment de cet avis et cela se nomme précisemment du fédéralisme. Il faut à l’évidence supprimer les départements par absoption des régions. Mais dans le même temps l’Etat doit se concentrer sur ses missions régaliennees afin d’assurer la cohésion nationale tout en jouant un rôle péréquateur et doit déléguer aux collectivités restantes le reste des missions selon là aussi le principe de subsidiarité. La France, de plus en plus isolée sur son mode gouvernance, asphixie ses régions par trop de centralisme. Notre pays partage presque l’intégralité de ses frontières avec des pays ayant adopté le fédéralisme, comme de plus en plus de pays sur la planète.

    Cordialement,

    Christian


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