Christian Portal

@troletbuse
Effectivement, ce genre de comptabilité n’est pas scientifique mais il est très efficace pour comprendre le réel. Quand je faisais des conférences, je demandais à l’auditoire de compter, dans leur entourage, les morts de cancers et de maladies cardiovasculaires. On avait en général un rapport de 10 à 1. Or, à cette époque la courbe de mortalité par cancer venait juste de croiser celle des décès par maladies cardiaques. Comment, dans ce cas, trouvait-on 10 fois de décès par cancers autour de soi ? Cela ne peut être dû qu’à une fraude.

Bravo pour cet article très documenté. Il est notamment très intéressant de voir que le système immunitaire est absolument inconnu pour la majorité du corps médical ou, qu’en tout cas, il est extrêmement limité dans sa compréhension. 

@joletaxi
Merci pour ce commentaire constructif !
Vous avez parfaitement raison sur le nombre de décès. en fait j’ai fait une coquille ; je voulais écrire 30 000, ce qui, je vous concède est largement en dessous de la réalité mais, voulant faire une extrapolation raisonnable, je suis resté modéré. Déjà 30 000, c’est énorme et justifie largement de reconnaître sa défaite et accepter de changer de logiciel d’analyse et de traitement.
Votre expérience de l’homéopathie en rejoint d’autres mais, hélas, ne convaincra jamais les matérialistes de tout poil.

@foufouille J’apprécierais un argumentaire plus sérieux basé sur une compétence et, par ailleurs, nous ne connaissons pas assez pour vous me tutoyiez.

@Séraphin Lampion
Vous avez raison sur le fond mais la problématique virale existe bien et, ce que je remets en cause est la conception occidentale de ces processus infectieux et et leur absence de traitement. En effet, même si je n’ai pas de données précises, on peut, par extrapolation, concevoir que les syndromes viraux, que ce soient des grippes, des rhumes ou des SRAS, font certainement au moins 20 000 morts par an. C’est en soi une raison largement suffisante pour s’intéresser aux traitements non conventionnels (homéopathie, aromathérapie, etc.), notamment en l’absence de traitements conventionnels efficaces.