Les vitupérisations des anti-nucléaires m’exaspèrent de plus en plus. J’étais pourtant parmi les manifestants anti Creys-Malville en 69. Mais j’ai réfléchi, moi.
J’ai compris que le monde étant tel qu’il est, on ne pourra jamais demander des sacrifices sans contrainte. Et qui tiendra le baton ?
Puisqu’il FAUT de l’énergie(et le tiers monde est aussi gourmant que nous), où la prendre ?
Le soleil, le vent, les vagues pour quelques miettes...
Actuellement 80% de l’énergie vient des combustibles fossiles. C’est un suicide de continuer.
Que reste-t-il ?
La fission NUCLEAIRE en attendant la fusion.
Les déchets sont surtout un épouvantail agité par les anti-nucléaires. Les quantités sont infimes par rapport aux déchets des autres industries. Et les réacteurs rapides sont capables d’en faire disparaître 90%. J’espère que les pronostics de l’AIEA : doublement de la puissance nucléaire installée d’ici 2030 se réaliseront ; sinon, l’enfer de l’effet de serre.
Bravo à Pellen et à tous ceux qui soutiennent son point de vue.
Le nucléaire, et peut-être un jour la fusion, est le seul remède à la soif d’énergie du monde. Sa voracité est sans borne...