Attention mon ami, prend ton temps avant de recopier hors propos des extrait d’article, car je doute fort que tu lise Science ou Nature, dont la grande majorité des articles soutiennent largement la théorie anthropique.
Tout d’abord, j’avais déja entandu parler « de l’effet de serre saturé » théorie certe séduisante(un GES provoque une disparition équivalente d’un autre GES de sorte que
l’atmosphère reste en équilibre thermique sans
emballement) si on exclue le fait qu’aujourd’hui les GES sont de plus en plus étudié dans leur ensemble, et non séparément comme semble vouloir l’indiqué ce scientifique.(au fait, il a été viré de la Nasa, qui a quand laisser a l’époque publier quelques articles sur un possible rechauffement non anthropique, donc théorie du complot un peu caduc sur ce coup la...), je te conseil la lecture d’article de Ken Gregory, qui pointe certaine incohérence de son systeme d’atmosphère finie :attention, les échange atmo/océan , atmo/sol, atmo/biotope sont légions.Donc l’équilibre themodynamique de son system est trop simpliste, et même faux !Effet de serre constant nous dit-il ?Alors qu’il nous explique les périodes glaciaires du « quaternaire » (terme abusif, je sais) ôu vapeur d’eau et GES était moins présent, justement.Quant à l’antartique, des relevés de la base franco/italienne « Concordia » (depuis 2005, premier hivernage) nous disent le contraire de tes propos.Il n’y a pas de tendance a la fonte depuis 6000 ans !! (voir « petit age glacière »).
Mais le plus important, c’est de faire très attention quand tu cite des relevé de température qui montre une hausse a certain endroit.La dynamique thermique de « l’interrieur » l’antartique est encore en cours d’étude,c’est pour ça que Concordia, après la base Russe « Vostoc », et la base américaine au pôle sud (dont j’ai oublié le nom, !) a trouver ça légitimité de financement (en plus du programe ARENA).La dynamique atmosphérique l’ocean austral (une quarantaine de base sur les côte antartique) est mieux connue, et elle diffère de celle du continent.
Par contre ton argument des plateforme qui se réduisent (je pense que tu parle de la barrière de Ross, et de l’autre barrièrede Werden) se retourne contre toi puisque c’est justement l’augmentation du nombre d’icebergs qui démontre une « fracturation » de la barière, conséquence notable du réchauffement justement.
Les glaciers : 160 000 ?Ok, on ne les étudie pas « tous » car dans une localité donnée, il suivent tous la même dynamique.Et le fait de dire que certain glacier avance, c’est vrai (exemple type : Le Périto Moreno, un cas d’école), car le réchauffement climatique n’est pas homogène.
Je me réjouit finalement que
certain est conservé un regard critique sur la théorie
anthropique, démontrant ainsi ce qui me semble être une
certaine indépendance d’esprit.
Toutefois,qu’ils ne sombres pas dans
les théories négationnistes, dont l’argumentaire, sous
couverture scientifique, n’étale que des éléments
isolés dont la rigueur scientifique est souvent l’incomplète,
dont les « publications » sont très
souvent « débunker » par les puristes,
et dont souvent le financement d’étude (je pense surtout au
études américaine des années 90) se rapporte a
des entreprises lié directement ou indirectement à des
consortium d’exploitation pétrolière ou minière.
Je poursuis une thèse en
géodynamique (USTL à Lille) et suis donc de près
les publication en paléoclimatologie et bioclimatologie. Car
la CLEF DE L’ETUDE sur le RC est belle est bien là.
Il s’agit (explication TRES brève)
d’étudier l’évolution les différentes cycles
climatique au cours des aires géologique, par le biais
d’isotope (carbone 14, oxygène,hydrogène,eau
« lourde »surtout... mais il en existe plus de
90 en réalité, sans oublier la magnétite,
qui permet d’étudié les cycle magnétique),
véritable bibliothèque vivante,qui permettent
d’établir, par corrélation avec des phénomène
toujours en cours aujourd’hui, de reconstitué le paléoclimat.
Il en
ressort que les changement paleoclimatique sont en premier lieu (et
de loin !) une conséquence des effet dit de « Milanković »
(excentricité d’orbite,obliquité et précession
terrestre), puis de la radiation solaire, de l’effet de serre (lié
a l’activité volcanique et la photosynthèse) et les
répartition des masses continental (« l’albédo »
notamment), courant marin etc...
Nous somme en ce moment dans un age
interglaciaire depuis 10 000ans (fin de l’age glacière du
Wurm) .Cependant, notre planète a subit de petites variations
climatiques (de 0,5 à 1°) depuis ce temps : réchauffement
à l’ « air Romaine », optimum
climatique médiéval, et le « petit age
glacière » (terminer en 1850 dont le commencement
et pour l’instant assez flou)sont les plus étudiés.
Elles ont eu des consequences notables sur l’agriculture, surtout en
europe et en amérique du nord, dont les hivers rigoureux
engendrèrent des famines ou profitèrent a la culture de
plantes « étrangères », et influère
sur le cours de certaine bataille.La pondération des
differentes causes de ces changement est encore sujet a contreverse.
Mais la causalité anthropique du
RC acutel adopté par une très grande majorité de
geophysisiens, chimiste, géologue, biologiste,et
particulièrement les climatologue.(paleoclimatologue,
bioclimatologue) n’est plus a démontré, mais a
PRECISER.(notament dans la pondérations des differents
facteurs dans la modellisation des simulateur) Les arguments des
détracteur voulant que le RC soit entièrement du a
la radiation solaire en se basant sur des études éparses
et marginal sont aujourd’hui balayées d’un revers de main.
Leurs publications, toujours un gros coup de pub (trouvé du
financement de grande multinational dont les intérêt
sont de mystifié le RC, je le sais bien, je suis en plein
dedans à l’USTL), sont toujours imprécises, oublies
volontairement (ou pas) d’autres facteurs, et sont un terreaux
fertiles pour les partisans du « complot climatique »,
qui bien souvent ne métrisent pas bien le vocabulaire
scientifique
Certes, les cycles magnetiques (et
« vent solaire »)du soleil influent sur le
climat, mais ces cycle (par ailleurs très court) n’explique
pas tout. De plus,les très recent enregistrement d’’activité
solaire montre justement une baisse HISTORIQUE des tache solaire
(crée indirectement par une baisse d’activité
magnétique solaire).Ces théorie, encore « écouté »
a Rio en 92,ne possédaient pas encore l’appuis d’étude
pousser offert par les satellites supplémentaires de
surveillance aujourd’hui envoyé en orbite : SOHO (1995 étude
du soleil justement, dont les retombé scientifique corroborent
mes dires) , IMAGE (2000 étude des tempêtes et du temps)
JASON 1 (2001 étude des océans) SCISAT (2003
atmosphere) CALIPSO et CloudSat (2006 climat) etc...Et surtout, la
modélisation informatique gagne toujours plus en précision
(les ordinateur les plus puissant du monde après les
modélisateur atomique)et les nombreux « modèles »
dont la pondération des differents facteurs et cadrillages de la
terre change d’un modèle à l’autre démontrent
tous que le facteur anthropique est DETERMINANT. Tous...La seul
incertitude est le temps et la valeur du RC.
Le climat est un système
dynamique d’une complexité infinie, et beaucoup aime le
simplifié en offrant des théories séduisante
facilement ingurgitable par ceux qui voie le mensonge partout.
Il n’y a pas de de labo de climatologie a Lyon III !!
De plus, j’ai fait à l’époque mes deux première années de fac (géologie) à Lyon I , j’y est eu des cours de climato (paleoclimato), jamais entendu ce discours la !!!
Renseignez vous, je serai curieux de connaitre le nom de ce Chercheur.
Je me réjouit finalement que
certain est conservé un regard critique sur la théorie
anthropique, démontrant ainsi ce qui me semble être une
certaine indépendance d’esprit.
Toutefois,qu’ils ne sombres pas dans
les théories négationnistes, dont l’argumentaire, sous
couverture scientifique, n’étale que des éléments
isolés dont la rigueur scientifique est souvent l’incomplète,
dont les « publications » sont très
souvent « débunker » par les puristes,
et dont souvent le financement d’étude (je pense surtout au
études américaine des années 90) se rapporte a
des entreprises lié directement ou indirectement à des
consortium d’exploitation pétrolière ou minière.
Je poursuis une thèse en
géodynamique (USTL à Lille) et suis donc de près
les publication en paléoclimatologie et bioclimatologie. Car
la CLEF DE L’ETUDE sur le RC est belle est bien là.
Il s’agit (explication TRES brève)
d’étudier l’évolution les différentes cycles
climatique au cours des aires géologique, par le biais
d’isotope (carbone 14, oxygène,hydrogène,eau
« lourde »surtout... mais il en existe plus de
90 en réalité, sans oublier la mégnétite,
qui permet d’étudié les cycle magnétique),
véritable bibliothèque vivante,qui permettent
d’établir, par corrélation avec des phénomène
toujours en cours aujourd’hui, de reconstitué le paléoclimat.
Il en
ressort que les changement paleoclimatique sont en premier lieu (et
de loin !) une conséquence des effet dit de « Milanković »
(excentricité d’orbite,obliquité et précession
terrestre), puis de la radiation solaire, de l’effet de serre (lié
a l’activité volcanique et la photosynthèse) et les
répartition des masses continental (« l’albédo »
notamment), courant marin etc...
Nous somme en ce moment dans un age
interglaciaire depuis 10 000ans (fin de l’age glacière du
Wurm) .Cependant, notre planette a subit de petite variation
climatique (de 0,5 à 1°) depuis ce temps : réchauffement
à l’ « air Romaine », optimum
climatique médiéval, et le « petit age
glacière » (terminer en 1850 dont le commencement
et pour l’instant assez flous)sont les plus étudiés.
Elles ont eu des consequence notable sur l’agriculture, surtout en
europe et en amérique du nord, dont les hivers rigoureux
engendrère des famines ou profitère a la culture de
plante « étrangère », et influère
sur le cours de certaine bataille.La pondération des
differentes causes de ces changement est encore sujet a contreverse.
Mais la causalité anthropique du
RC acutel adopté par une très grande majorité de
geophysisiens, chimiste, géologue, biologiste,et
particulièrement les climatologue.(paleoclimatologue,
bioclimatologue) n’est plus a démontré, mais a
PRECISER.(notament dans la pondérations des differents
facteurs dans la modellisation des simulateur) Les arguments des
détracteur voulant que le RC soit entièrement du a
la radiation solaire en se basant sur des études éparses
et marginal sont aujourd’hui balayées d’un revers de main.
Leurs publications, toujours un gros coup de pub (trouvé du
financement de grande multinational dont les intérêt
sont de mystifié le RC, je le sais bien, je suis en plein
dedans à l’USTL), sont toujours imprécises, oublies
volontairement (ou pas) d’autres facteurs, et sont un terreaux
fertiles pour les partisans du « complot climatique »,
qui bien souvent ne métrisent pas bien le vocabulaire
scientifique
Certe, les cycles magnetiques (et
« vent solaire »)du soleil influe sur le
climat, mais ces cycle (par ailleurs très court) n’explique
pas tout. De plus,les très recent enregistrement d’’activité
solaire montre justement une baisse HISTORIQUE des tache solaire
(crée indirectement par une baisse d’activité
magnétique solaire).Ces théorie, encore « écouté »
a Rio en 92,ne possédé pas encore l’appuis d’étude
pousser offert par les satellites supplémentaires de
surveillance aujourd’hui envoyé en orbite : SOHO (1995 étude
du soleil justement, dont les retombé scientifique corrobore
mes dires) , IMAGE (2000 étude des tempêtes et du temps)
JASON 1 (2001 étude des océans) SCISAT (2003
atmosphere) CALIPSO et CloudSat (2006climat) etc...Et surtout, la
modélisation informatique gagne toujours plus en précision
(les ordinateur les plus puissant du monde après les
modélisateur atomique)et les nombreux « modèle »
dont la pondération des different facteur et cadrillage de la
terre change d’un modèle à l’autre démontrent
tous que le facteur anthropique est DETERMINANT. Tous...La seul
incertitude est le temps et la valeur du RC.
Le climat est un système
dynamique d’une complexité infinie, et beaucoup aime le
simplifié en offrant des théories séduisante
facilement ingurgitable par ceux qui voie le mensonge partout.