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Cites

Agent de contrôle spécialisé dans la Convention de Washington et la détention d’animaux sauvages

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  • Premier article le 17/07/2007
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  • Cites 28 septembre 2007 15:07

    Il existe un système relativement simple : celui du certificat de capacité instauré par l’arrêté Ministériel du 21 novembre 1997. C’est un permis qui existe déjà notemment pour pouvoir détenir des espèces animales considérées comme « dangereuses » (cf félins, singes, animaux venimeux, autruches etc... )

    il suffit de rajouter sur la liste les « canidés de plus de 15kg à l’âge adulte »

    Pour le poid je ne suis pas un expert en chien mais c’est le paramètre qui me semble le plus pertinent, en tout les cas certainement plus que celui de la race.

    Il faut s’y connaitre pour distinguer toutes les races et encore plus identifier les croisement, c’est donc inaplicable pour une majorité de flics... que peser un chien reste à la porté de tous.

    Enfin, le dressage étant déterminant dans la dangerosité d’un chien, il est évident qu’un petit pékinois de 500g mal dressé restera toujours moins dangereux qu’un malinois de 70 kg qui pose affectueusement ses papattes sur les épaules d’une mamie de 80 ans... smiley



  • Cites 18 juillet 2007 13:14

    Merci pour votre commentaire,

    Pour les animaux sociaux (comme les primates par exemple), il faut en plus de la quarantaine une période de resociabilisation où on habitue l’animal qui a vécu seul dans une cage toute sa vie à la présence de ses congénères. Si celà fonctionne, il est ensuite introduit dans un groupe afin de vivre avec ses congénères (par exemple dans un enclôt ou un îlot au sein du refuge). Une fois la sociabilisation faite un placement dans une autre structure est alors éventuellement envisageable.

    Pour les lions adultes, c’est un cas particulier et le problème est donc différent, il n’y a pas de possibilité de resocialisation. L’animal devra donc probablement rester jusqu’à sa mort dans le centre d’accueil...

    Les autres animaux, une fois la quarantaine passée, ne présentent pas toutes ces difficultés et de ce fait sont nettement plus faciles à placer. Bien sûr ce sera toujours un peu plus compliqué pour des animaux extrêmement fréquents dans les zoo (comme les émeux ou les autruches) mais de tels animaux demandent peu d’entretient et peuvent facilement être présentés au public qui visterait la structure d’accueil.

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