Charles Hermite : « Je vous ferais bondir, si j’osais vous avouer que je n’admets aucune solution de continuité, aucune coupure entre les mathématiques et la physique, et que les nombres entiers me semblent exister en dehors de nous et en s’imposant avec la même nécessité, la même fatalité que le sodium, le potassium, etc. » — Correspondance avec Stieltjes, janv. 1889, Paris, éd. Gauthier-Villars, 1905, t. I, p. 332