Il va bien falloir payer la pension alimentaire de M’dame, et les frais de scolarité du p’tit... ça fait double frais ! Et puis un président célibataire, pour l’hygiène, ça doit bien trouver une bonne adresse !
Même si je ne partage pas toutes les idées et opinions de M. Bonnet, je prends la peine de lire entièrement ses articles... et si je ne connais pas bien l’affaire, je vais me documenter par ailleurs... mais je ne l’accable pas d’insultes sordides, de jeux de mots calamiteux ou autres grossièretés.
Donnez-nous vos arguments contraires à ceux avancés par M. Bonnet pour que nous puissions en prendre connaissance et essayer de mieux comprendre cette transaction un peu ambigüe...
Vraiment, je trouve que vos commentaires pleins de haine sont odieux et vous m’incommodez fortement sur ce fil.
Merci de nous apporter d’autres éléments juridiques sur cette affaire que vous devez sans doute connaître « à fond ».
Et sans agressivité, ni méchanceté gratuites, si possible. Sinon en ce qui me concerne j’ai du mal à lire...
Je trouve votre article très bien construit et fort bien documenté.
Et pourtant, je ne suis pas une adepte,ni une fan de la presse people ! j’ai d’autres engagements associatifs sur le terrain qui m’occupent bien au quotidien !
Mais la médiatisation de ce couple depuis quelques années m’a toujours agacée : aucune dignité, que de l’hypocrisie, rien que du superficiel ! Les enfants en avant sans souci de leur protection (je ne me rappelle pas que Petit Louis était « flouté » quand il apparaissait sur les affiches pour souhaiter « bonne chance, mon papa » ?)
Et puis cette dame Cécilia, je ne la blâme pas, ignorant tout des capacités amoureuses et affectives de son cher Nicolas ; mais apparemment toujours en recherche d’un prince charmant plus doué (selon son goût bien sûr !!!).
A défaut d’être notre Première Ambassadrice (il est vrai qu’elle n’a pas supporté les critiques de sa première mission) laissons lui le droit de divorcer et de vivre comme elle l’entend. J’approuve son choix de vivre en retrait désormais, car je la voyais mal en Mme de Pompadour, pour la sérénité de nos diplomaties qui ont quand même un vrai rôle à tenir !
Je reviens sur votre affirmation que « les polonais, italiens, portugais ont eu du mal à s’intégrer » et j’ai constaté le contraire ! Je suis mariée avec un descendant de mère ukrainienne et père polonais, né en 1936 dans une petite ville d’Ile de France où il y avait très peu d’étrangers, et mon mari ne se souvient pas d’avoir été spécialement martyrisé à l’école de la République...
Mon beau-père, début 1940, avait rejoint aussitôt le régiment polonais qui se constituait à Bordeaux, hélas, sans suite, rentré au foyer quelques mois après...
Mes beaux-parents étaient très estimés et respectaient profondément leur pays d’adoption. Mon mari est très attaché à sa nationalité française...
Nous connaissons aussi de nombreux portugais et leurs enfants, parfaitement intégrés dans notre département des Deux-Sèvres !
Et puis, ne comparez pas la situation actuelle avec celle des immigrés des années 20 et 30, où notre pays en avait tellement besoin : il fallait bien compenser le manque de main d’oeuvre dans les mines, l’industrie... avec tous les hommes français morts jeunes ou dans la force de l’âge pendant cette horrible première guerre mondiale !