Apres les considerations d’ordre physiologiques, du cannabis, j’aimerai
si possible discuter des consequences sociales de la prohibition. Voici
quelques pistes de reflexion : Cout financier de la prohibition :
La guerre contre la drogue est une guerre, et la guerre est ce qu’il y
a de plus cher au monde. Regardons combien nous coute la prohibition. Resultats de la prohibition :
Ces guerres contre la drogue sont elles efficaces ? La Suede a par
exemple d’assez bons resultats. Comment expliquer qu’elle soit le seul
pays capable d’un tel exploit ? Cet exploit est ilbien reel ou est-ce
une chimere ? Quels autres pays ont reussi et pourquoi, quels pays ont
echoue et pourquoi ? A qui profite la prohibition ? Qui pathit de la prohibition ? En effet, que la prohibition soit un bien ou un mal, elle profite forcement a quelqu’un.
Voila voila. j’aimerai discuter avec qui le veut de ces aspect de la drogue...
merci de en parler marcel mais c’est un autre débat ca :P
Pour éliminer les dangers du cannabis
Être majeur, être renseigner sur le
produit, les effet, les dommage au corp ensuite si vous accepter d’en
prendre quand même c’est votre choix personelle. C’est à vous seul
d’être le maitre de faire ce qui vous plaît avec votre corps et non un
gouvernement
Ensuite Il
faut tenir compte de l’impact de la consommation sur le comportement
des gens. Ça, c’est la clé pour jauger la gravité du problème, presque
indépendamment de la fréquence de la consommation.
il y a des
personnes qui boivent deux verres de scotch lorsqu’elles rentrent du
travail, puis une demi-bouteille de vin au repas, et ce, tous les
soirs ; pourtant, elles n’éprouvent aucun problème sur les plans
professionnel et social. D’autres, par contre, boivent une seule fois à
un 5 à 7 et se saoulent, se désinhibent et envoient paître leur patron ;
elles perdent leur boulot à la suite de leurs actes.
Je suis bien d’accord que l’utilisation du cannabis en trop grande quantité chez les jeunes est un problème que nous devons prendre au sérieux afin de le régler.
Par contre, ce n’est pas en augmantant la répression que nous y arriverons.
Il me semble que c’est évident !
Imaginez-vous donc que le gouvernement est incapable d’empêcher les drogues dans leurs prisons, comment pourraient-ils le faire dans l’espace publique ?
La prohibition ne permet aucun contrôle.
En d’autres mots, la prohibition laisse librement le cannabis et les autres substances illégales aux mains des jeunes et ce sans norme de qualité ou de principes d’utilisation responsable.
La propagande aime utiliser les jeunes et les maladies mentales afin de maintenir la prohibition actuelle en place...
Les perceptions erronées qui sont véhiculées augmentent la méconnaissance de la population envers les drogues et amplifient donc l’impression du risque et des dangers reliés à leur usage.
Pourtant, c’est la prohibition qui crée plus de problèmes qu’elle n’en règle. C’est la situation sociale par excellence afin de laisser les jeunes dans l’oubli.
Si les jeunes ont des problèmes avec les drogues actuellement, ce n’est pas à cause des drogues mais des lois qui les laissent seuls devant des choix risqués et sans aide valable.
P.S. Il y a une augmentation des troubles mentaux à tous les niveaux de la société... La société ne serait-elle pas malade puisqu’elle isole et laisse les gens dans un sentiment de culpabilité et d’incapacité...
Publié le 28 juillet 2009 à 05h16 | Mis à jour à 05h16
C’est arrivé un 28 juillet
1972 _ À Sainte-Thérèse, près de Montréal, André Vassart, 16 ans, est tué par le tir d’un policier municipal, alors qu’il s’enfuyait avec une petite quantité de marijuana.
L’année 2008 confirmera l’échec de la Guerre à la drogue de l’ONU et des USA.
Sur la scène internationale, 2008 est l’année ou la Commission des stupéfiants de l’ONU doit se rencontrer à Vienne pour constater l’échec de la lutte antidrogue MONDIAL. Cette rencontre au sommet sera-t-elle l’occasion de réévaluer la politique actuelle de prohibition, ou au contraire de poursuivre celle-ci de plus belle ? Parions que la délégation canadienne nous fera encore honte, en faisant sienne la ligne dure préconisée par l’administration Bush aux États-Unis.
Il y a dix ans, on avait établi un calendrier pour un « monde sans drogue » !
Il faut rappeler qu’à New York, pendant la Session Spéciale de l’Assemblée Générale des Nations Unies sur les Drogues de juin 1998, on avait adopté une déclaration politique qui établissait les objectifs d’ « obtenir des résultats significatifs et mesurables dans le secteur de la réduction de la demande » et d’ « éliminer ou réduire significativement la culture illicite de coca, de cannabis et d’opium » avant l’année 2008.
Quelle farce ! Il y aurait matière à rire si ces prises de position complètement irréalistes ne coûtaient pas des milliards $ et ne détruisaient pas des milliers de vies humaines.
Le 10 mars 2008, la Commission des Nations Unies sur les stupéfiants se réunit à Vienne pour examiner les résultats de cette stratégie. Des manifestations et ateliers auront lieu à cette occasion du 7 au 9 mars prochain.
Le shit acheté dans la rue affecte les fans de fumette
Les personnes qui achètent du cannabis dans la rue rencontrent davantage de problèmes de concentration au boulot ou à l’école.
Un peu moins de 9% des fumeurs produisent leur propre cannabis. (Photo : Keystone)
Les amateurs de fumette ont du souci à se faire. Depuis 2004, la Confédération multiplie ses actions contre la consommation du cannabis. De plus, l’initiative populaire sur le chanvre « Pour une politique raisonnable en matière de chanvre protégeant efficacement la jeunesse » a été refusée le 30 novembre dernier.
Cette situation a des conséquences inattendues, selon une étude sur la consommation de cannabis. Si, en 2004, 22% des 13-29 ans se procuraient du cannabis dans des magasins, ils n’étaient plus que 5,8% en 2007. L’achat de chanvre auprès de dealers dans la rue est passée de 5,7 à 13% durant la même période.
« Cette explosion est inquiétante » estime la conseillère nationale PDC Christa Markwalder. En effet, les personnes qui se fournissent dans la rue ont plus souvent des problèmes de concentration au travail ou à l’école que les personnes qui s’approvisionnent auprès d’autres sources. Les raisons ne sont pour l’heure que spéculations. « Il existe un risque que celui qui se fournit auprès d’un dealer se laisse tenter par d’autres drogues plus destructrices, comme la cocaïne par exemple », imagine l’élue.
Une autre hypothèse laisse à penser que celui qui achète son joint dans la rue est plus isolé socialement que la plupart des consommateurs qui se fournissent auprès d’amis qui, une fois sur deux, offrent tout simplement gratuitement la drogue. Enfin, pour 8,7% des fumeurs, le problème ne se pose même pas. Ils produisent tout simplement leur cannabis à la maison.
(Marcel Urech/jbm)
Cannabis 2008 : Mise à jour du rapport 1999 sur le cannabis
La Commission fédérale pour les questions liées aux drogues (CFLD) a décidé d’évaluer l’actualité des recommandations formulées dans son rapport sur le cannabis, publié en 1999. Cet été, elle a donc mandaté une revue des publications scientifiques parues entre 1999 et 2007. Il s’agissait en particulier de déterminer si le risque que présente le cannabis pour les consommateurs comme pour la population s’était modifié depuis 1999.
5. Recommandations
La majorité des membres de la commission maintient donc la recommandation formulée dans son rapport de 1999 : régler l’accès aux produits à base de cannabis par le biais d’un modèle de réglementation qui accorde la place nécessaire à la prévention et à la protection de la jeunesse. Cette solution reviendrait à dépénaliser la consommation personnelle et les actes préparatoires à cette consommation. Le commerce à grande échelle doit rester punissable conformément aux conventions internationales. Ceci n’exclut pas l’introduction d’une régulation du commerce de détail, par voie d’ordonnance, selon le principe d’opportunité. La base légale correspondante serait inscrite dans la LStup.