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claude

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adhérente féminine à la communauté humaine depuis plus d’un demi-siècle.
j’essaye de me rendre utile auprès des autres en étant engagée dans l’associatif . j’aime l’histoire, les sciences de la vie, la politique dans le sens de « la conduite des affaires de la cité »... et l’humour noir...
 

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Derniers commentaires



  • claude claude 25 février 2010 20:57

    @ ernester,

    l’entreprise dont elle est actionnaire, fut créée et développée par son père, qui fut l’inventeur de la publicité en france ; ainsi que de son évolution.

    il existe beaucoup d’entreprises familliales sur ce modèle : les actions appartiennent aux enfants et petits enfants... : les familles de laurence parisot, le baron sellière, michelin, wendel, schneider, taitinger, peugeot...

    il y a des boulangers, bouchers, artisans de pères en fils ou en fille...,

    votre attaque est minable



  • claude claude 25 février 2010 20:12

    oups !

     dans mon texte, il fallait lire « grossesse à la bonne franquette » !

    je constate que l’auteur de l’article ne prend pas la peine de venir répondre aux commentaires.



  • claude claude 25 février 2010 16:41

    l’association « droit des non-fumeurs » vire à la secte puritaine fanatique.

    ce qui me gêne c’est l’amalgamme entre cigarette et sexe contraint. à force de vouloir obliger les gens à vivre sainement malgré eux, on stigmatise de plus en plus, les fumeurs, les bons vivants bien en chair, le vin... on désire réguler tous les penchants dits nocifs, pour se retrouver dans une société que l’on veut aseptisée et sans saveur.

    on arrive dans une dictature du vivre sain à tout prix !

    mais, et si moi, tout en faisant attention à ne pas importuner mon voisin, je veux continuer à fumer ? n’empiète-t-on pas sur mon droit fondamental au plaisir ?



  • claude claude 25 février 2010 15:41

    @ fifi,

    le but suprême d’une femme n’est pas la maternité, contrairement à ce que les hommes tentent de nous faire croire depuis des millénaires.

    les femmes ont toujours travaillé depuis la nuit des temps. il y toujours eu des femmes travaillant dans les champs, à la ferme, dans les boutiques des commerçants. au moyen-âge, il y avait même des femmes maitres-artisans ! il y a même eu des souveraines qui ont marqué leur époque : la pharaone hasheptsout, la reine christine de suède, amie de descartes ; la grande catherine de russie ; élizabeth 1° d’angleterre ; blanche de castille, alienor d’aquitaine, anne de bretagne, etc...ce n’est pas une invention du xix°siècle !

    ce que la fin du xx° siècle a rapporté, c’est l’émancipation des femmes par rapport aux hommes. avant 1965, elles n’avaient pas le droit de posséder un carnet de chèques sans autorisation maritale, la contraception autorisée, ne date que de fin 1967., l’autorité parentale des années 70....

    ce qui a changé, par rapport aux périodes antérieures, c’est que les femmes ont commencé à travailler parce qu’elles le désiraient. elles ont commencé à s’attaquer aux bastions masculins : grandes écoles, professions libérales, postes de responsabilités dans l’entreprise,chefs d’entreprise, députés, sénateurs, ministres...

    ce qu’elisabeth badinter dénonce, c’est le bourrage de crâne sournois qui vise à faire rentrer les femmes à la maison, ou leur faire comprendre que le bonheur de leurs enfants passe avant leur carrière professionnelle.

    seulement, chaque homme, chaque femme a le droit à l’autodétermination : chacun a le pouvoir de choisir s’il désire faire carrière ou rester à la maison pour éduquer les enfants ou autres choses.

    j’ai connu des femmes que l’allaitement dégoûtait, alors qu’elles étaient d’excellentes mères. nous avons le pouvoir de choisir le moment de nos maternités, afin de nous consacrer au mieux à l’éducation de nos enfants tout en exerçant une profession. je tenais à faire remarquer que l’éducation des enfants demande aussi la présence et les attentions d’un père. donc, pourquoi serait-ce uniquement la femme qui sacrifierait ses ambitions professionnelles ?

    il est parfois difficile de trouver le bon équilibre entre vie professionnelle et familiiale, mais des parents bien dans leur peau et attentionnés rendent en général leurs enfants heureux. ce n’est pas la quantité qui compte, mais la qualité de l’attention portée à un enfant qui l’aidera à grandir.

    et puis, il existe des femmes qui n’ont aucune fibre maternelle. pourquoi leur imposer un bébé ?

    concenant l’épanouissement au travail, les hommes sont autant concernés que femmes : il existe aussi des hommes qui travaillent pour remplir le frigo ! et qui ne sont que des numéros...

    ce qui est valable pour un sexe, l’est pour l’autre.


    en relisant le texte de notre auteur, je me demande l’âge qu’elle pourrait avoir « Les temps ont bien changé. A l’époque de Badinter, on faisait effectivement encore les enfants à la bonne franquette, on les élevait bon an, mal an, sans consulter psys et médecins à tour de bras. La maternité n’était pas un fait exceptionnel dans la vie d’une femme mais une simple normalité, pour ne pas dire formalité. »

    que sait-elle de ce qui se passait avant la libéralisation de la contraception ? de la peur des femmes de tomber enceinte à chque fois que leur mari baissait le pantalon ? des grossesses menées à terme sans imagerie médicale, et qu’à l’accouchement on découvrait que le bébé se présentait par le siège ou que la tête était trop grosse pour passer ? des accouchements aux forceps ou qui duraient entre 48 et 72h ? de l’abscence de préparation, et encore moins de péridurale parce que la femme devait accoucher dans la douleur à cause de la faute d’ève ? des grossesses à répétitions qui déformaient les femmes, les édentaient, provoquaient des descentes d’organes, des incontinences urinaires ou fécales définitives ?...

    je ne parle même pas des milleirs de femmes rendues stériles par un avortement clandestin, quand elle ne mourraient pas des suites du tétanos ou de septicémie ?

    c’est ça qu’elle appelle une grosses à la « bonne franquette » ?

    l’auteur semble venir des milieux bourgeois, où l’on « prennait ses précautions » parce que l’on avait des amis médecins. avant 1967, proposer des moyens artificiels de contraception était interdit et puni par la loi. il y a bien eu la méthode oginot...dont les nombreux bébés aujourd’hui quinqua ou sexa peuplent ce monde...
    dans les familles bourgeoises, on allait en suisse ou en angleterre en cas de « problème », ou alors on se mariait en vitesse.


    le vie était loin d’être idéale pour les femmes avant les féministes ! ce serait même le contraire !





  • claude claude 25 février 2010 01:00

    cet article est minable, et déforme allégrement la pensée d’élisabeth badinter.

    et comme par hasard, les commentaires aux relents nauséabonds d’antisémitisme style catho intégriste, sont émis par des soucoupistes... relations de cause à effet ou l’inverse ?

    juste une précision : mr bleustein-blanchet a fondé publicis alors qu’il avait 20 ans. de plus, il fut un résistant de la première heure, alors que d’autres se plaquaient.

    je souhaite aux détracteurs d’élisabeth badinter, d’avoir le quart de son érudition et de sa compétence... ce qui visiblement est loin d’en être le cas.


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