L’article sur "Lannée de la révolte" est loin d’être clair. Le texte est bien trop long et manque de concision. Je pense que beaucoup d’internautes vont avoir des difficultés à s’y retrouver De plus ce Monsieur préconise partout, et je le cite " une amélioration commune de la qualité de vie par la hiérarchisation des priorités, des choix et des ordres et d’édicter des règles avec des notions claires". Ce qui n’est rien d’autre que de l’économie planifiée qui a déjà été essayée par des socialistes de tous bords.
Si vous voulez savoir la différence entre planification et liberté économique, vous pouvez essayer de lire F A. Hayek : La route de la servitude. Chez PUF, Quadrige, grands textes au prix de 10€.
Et attention aux utopistes de tous bords qui promettent des solutions irréalisables.
Monsieur Harrel,
"L’intérêt général" est une notion trop vague sur lequel aucune politique n’a jamais pu être bâtit ! Elle a mené les utopistes du passé aux extrêmes que nous avons la chance de ne pas avoir eu à subir.
Voyez ce qu’a dit Lénine a cause de ce fameux "intérêt général", je le cite : "La société toute entière deviendra un seul immense bureau et une seule immense usine avec égalité de travail et égalité de rétribution".
Cela semble bien gentil, mais jamais personne n’a réussi à faire cela et ceux qui ont essayé ont fait pire que mieux. D’ailleurs,Trotzky, l’ami de Besancenot, a été expulsé du territoire soviétique en 1929.
Cleopale.
Je réagit à un commentaire sur "année de la révolte"
Vous pensez que "les valeurs materielles" ne sont "pas importantes" ou moins importantes que d’autres. Avez-vous essayé de dire cela à des pauvres ou à des gens dans le besoin ?
Pensez-vous qu’il faille définir les priorité dans les besoins ?Un tel doit acheter ceci, l’autre cela ?
Attention aux utopies qui n’ont jamais marchée ou fait leurs preuves !
Vous citez " Le risque de la quantité " de René Guénon.
Avez-vous lu " La route de la servitude" de F. A. Hayek.
Et je cite le Times. " Lorsque l’autorité se déguise en organisation, elle présente suffisamment d’attrait pour transformer des collectivités d’hommes libres en Etats totalitaires.
Et celle-ci : "Ce qui fait de lEtat un enfer, c’est que l’homme essaie d’en faire un paradis. F. Hoelderlin. A
mettre en contraste avec ce qu’a dit L. Trotzky, expulsé du territoire soviétique en 1929. Il disait en 1937 : Dans un pays où l’Etat est le seul employeur, l’ancien principe : qui ne travaille pas , ne mange pas, est remplacé par un nouveau : qui n’obeit pas ne mange pas..... Alors, qu’en pensez-vous ?
Planisme et liberté.
Dans votre article "l’année de la révolte", vous avez essayé de noyer le poisson mais j’ai quand même pu repérer quelques-unes de vos idées maîtresses qui ont déjà été toutes essayées notamment par toutes sortes de socialisme.
Je vous cite, vous préconisez : " une amélioration commune de la qualité de vie par la hiérarchisation des priorités, des choix, et des ordres.
Voici la réponse de Lénine : "La société toute entière deviendra un seul immense bureau et une seule immense usine avec égalité de travail et égalité de distribution".
Je vous cite encore : " Il faut édicter des règles avec des sanctions claires" et vous dites plus loin que tout le monde doit suivre les même règles pour que cela soit plus clair.
Et Mussolini a dit : " Nous avons été les premiers à affirmer que plus les formes de civilisation sont compliquées, plus la liberté individuelle doit être restreinte".
Plus loin vous dites " La France a besoin de réforme et vous ajoutez : " Il faut définir lesquelles, pour faire quoi et comment" Ce que vous proposez, c’est de l’économie planifiée, comme tous les socialistes et autres planistes d’hier et d’aujourd’hui. L Trotzky, expulsé du territoire soviétique en 1929 a dit en 1937 "Dans un pays où l’Etat est le seul employeur, l’ancien principe : qui ne travaille pas ne mange pas, est remplacé par un nouveau : qui n’obeit pas ne mange pas".
Finalement, je pensais que vous alliez nous parler de Besencenot qui me semble + proche de vous avec ses propositions utopiques, mais vous citez OBAMA qui serait bien en colère de se retrouver dans votre texte.
Cleopale.
Cher fergus,
15 millions de français ont écouté Nicolas Sarcozy sans rien comprendre à ce qu’il a dit : il va faire du social, point barre.
Pensez-vous que les media soient là pour faire de la polémique ? Le social en France c’est déjà 550 milliards € par an. Il n’a pas le choix et ne peut pas augmenter le smic car les entreprises délocalisent déjà trop. Il ne peut pas non plus empêcher les entrepreneurs d’aller s’instaler ailleurs. C’est leur droit si un pays veut les accueillir. Assayez un peu vous, de vous expatrier et vous verrez !
Les patrons ont une longueur d’avance sur la plupart d’entre nous : ils peuvent s’expatrier facilement : ils ont les moyens et on les attend ! Alors la marge de manoeuvre est faible, Sarkozy ou pas.
Cleopale.